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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 23:26

Silence on vaccine version longue.




Soupe du diable (composants des vaccins)



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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 23:18

Pétition pour avoir l'autopsie afin de pouvoir trouver la preuve scientifique de cause à effet des vaccins

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 17:56

Discours initiative citoyenne marche citoyenne à Bruxelles avec Raphael Sirjacobs et Béatrice Dupont.


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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 16:58

L'avocate spécialisée dans les affaires ayant trait

aux vaccinations, est menacée de poursuites pénales.

Patricia Finn 

L’Etat de New York exige qu’elle livre les noms de tous ses clients.

___________________________________________________________

Par Mike Adams, Naturalnews, 28 février 2012 (Extraits)

 

L’avocate Patricia Finn qui s’est spécialisée dans les affaires ayant trait aux vaccinations est visée par le neuvième district Judiciaire de l’état de new York qui l’a menacée de lui retirer son droit d’exercer et même menacée de poursuites pénales.

 

Finn est aux Etats-Unis l’une des avocates qui aident les parents à défendre leurs droits de protéger leurs enfants par rapport à des vaccins potentiellement nocifs. Beaucoup la considèrent comme une héroïne, alors que les partisans du statu quo voient en elle une véritable scélérate qui ose se dresser contre un état policier protecteur des vaccins.

 

J’ai personnellement interviewé Patricia Finn hier soir (27 février 2012). J’ai pu lire les documents présentant les charges à son encontre.

 

L’un de ces documents ayant trait à la défense des personnes qui revendiquent leurs droits de se protéger des vaccins était considéré comme « une menace de l’intérêt public ». Aider ces personnes sur un plan légal et éthique à éviter des vaccins toxiques mettrait donc le public en danger ! Cette accusation n’a absolument aucun sens logique étant donné que même les promoteurs de vaccins prétendent que leurs vaccins offrent une immunité absolue et totale contre les maladies infectieuses. Comment dès lors un enfant non vacciné pourrait-il de quelque manière que ce soit menacer la santé d’un enfant vacciné ?

 

L’état de New York exige que Patricia Finn lui remette  immédiatement la liste complète de tous ses clients. Ce document a, chez moi, en quelque sorte servi de sonnette d’alarme. Il s’agit ici non seulement d’une violation flagrante des prérogatives de la relation avocat/client ; mais aussi d’une tentative à peine voilée du pouvoir judiciaire New Yorkais de terroriser les parents qui cherchent une aide juridique pour échapper à de dangereux vaccins.

 

Au cours de l’interview Patricia Finn m’a déclaré qu’elle refuserait absolument de remettre la liste de ses clients et que la demande même qui lui était adressée constituait une violation de la loi. Elle m’a déclaré qu’elle préférait perdre sa licence d’avocate que de trahir la confiance de ses clients.

 

Dans un article écrit par Curt Linderman, Patricia décrit les événements qui ont conduit  l’état de New York à tenter de mettre fin à sa carrière.

 

Ce matin, j’ai reçu des papiers qui concernaient la suspension de ma licence d’avocate. Les charges étaient fausses. L’ordre m’était aussi intimé de révéler les noms des personnes que je défends et qui ne se font pas vacciner…Je refuse de faire cela. Je préférerais aller en prison plutôt que de donner ces noms. S’il vous plaît contactez les organisations qui défendent le droit à un choix libre et éclairé, comme aussi les médias… Renseignez-vous et découvrez la vérité. J’ai appelé ce type de harcèlement « l’effet Wakefield » !

 

L’effet Wakefield a trait à la censure et à l’oppression scandaleuses et illégales exercées à l’encontre de tout qui s’oppose fermement aux mensonges de l’industrie du vaccin. Le simple fait de s’interroger sur la mythologie des vaccins  fait instantanément de vous la cible pour une campagne de dénigrement, de ridicule et d’humiliation.

 

Robert Scott Bell et Jon Rappoport viennent de publier un étonnant cours audio qui démantèle complètement les mensonges et les mythes  de l’industrie du vaccin. Ce cours vous fournit toutes les informations nécessaires pour vous protéger de ces zélateurs du vaccin.

 

Source: Naturalnews

et initiative citoyenne

 


 

Des pressions sur les parentssur les médecinssur les chercheurs, à présent sur les avocats. Des lois que les officiels espèrent contourner ou même « remodeler » pour maintenir ou instaurer des obligations vaccinales illégitimes,…tout est bon pour sauver l’image des vaccins et renforcer leur usage irraisonné ! Toutefois, de plus en plus de citoyens semblent voir clair et la fin de ce qu’il convient d’appeler un système mafieux (avec l’intimidation qui lui est propre) vit sans doute ses derniers mois, tout au plus ses dernières années.

 

 

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 16:04

Témoignage de Marie-Eve Paul

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Votre témoignage réveille la peine et la colère. Notre fils a survécu, mais c'est tellement d'émotion, de peur refoulées. 

L'année dernière en février, mon fils de 14 mois a été vacciné par prévenar et ROR simultanément (un vendredi).

Il était en pleine forme, comme d'habitude. Jusqu'au lundi soir. Le mardi matin, soit 4 jours après la vaccination, 40,2°C de fièvre.

La pédiatre, contactée par téléphone, nous parle de grippe.

La fièvre descend à peine malgré le paracétamol. Le soir, vers 19h nous sommes aux urgences. Heureusement, les médecins comprennent tout de suite, il est immédiatement transporté en réanimation pédiatrique.

Purpura fulminant.

Il fait 2 arrêts cardiaques lors de l'intubation, mais après 7 jours de coma artificiel, 10 jours de réanimation, 3 semaines au total d'hospitalisation, il s'en sort avec quelques cicatrices. (Les cartilages de croissance ont peut-être été touchés aussi, R doit passer un IRM prochainement).

Les médecins nous ont immédiatement parlé d'infection à pneumocoque ou méningocoque qui provoque ce syndrome qu'est le purpura fulminant.

Lors de son admission aux urgences, ils lui ont fait une prise de sang pour mettre le sang en culture et retrouver la bactérie, avant de lui administrer les antibiotiques pour combattre cette bactérie et de l'emmener en réanimation. Le problème?

Ils n'ont jamais trouvé de bactérie. Les cultures n'ont rien donné.

R a eu ensuite une ponction lombaire après 5 ou 6 jours d'hospitalisation (son état ne permettait pas de prendre ce risque avant, ils l'auraient bien fait au bout de 3 jours mais nous avons insisté pour qu'ils ne le fassent pas tout de suite).

Tout ce qu'ils ont trouvé c'est un adénovirus au fond de sa gorge, ce qui provoque un rhume, d'après les médecins.

Notre fils était en bonne santé et nullement immunodéprimé, il n'y a aucune raison qu'un adénovirus déclenche ce purpura fulminant.

 

Tout prouve que ce n'est pas une infection due à une bactérie. 

 

Nous avons essayé à plusieurs reprises de parler de nos doutes sur le vaccin prévenar aux différents médecins de l'hôpital.

On ne nous a jamais répondu ni oui, ni non, la question a toujours été contournée.

Pourtant la coïncidence est trop troublante.

Un bébé en bonne santé reçoit un vaccin et quelques jours plus tard se retrouve aux portes de la mort, avec le syndrome provoqué par la bactérie contre laquelle il a été vacciné, sans présence de cette bactérie dans le sang... étrange, troublant... mais pas pour tout le monde à priori.  

 

Notre médecin traitant a fait la déclaration auprès de l'Afssaps d'effet secondaire possible.

Son cas a donc été déclaré.

L'Afssaps a fait une recherche de cas similaire et en a trouvé un seul, un bébé de 4 mois mort des suites d'un purpura fulminant, un seul en 10 ans environ.

Mais combien de cas non déclarés?

Mon médecin traitant m'a dit que dans le dossier médical il n'était nulle part fait mention de cette vaccination 4 jours avant.

J'ai lu sur certains articles qu’environ 80% des cas d'effets secondaires ne seraient pas déclarés (c'est une estimation).

 

Si vous pouvez toucher du monde, faire parler, et que l'on puisse recenser le nombre de cas exact, ce serait déjà un grand pas.

 

Je vous souhaite beaucoup de courage pour surmonter cette épreuve difficile et j'espère que vous pourrez trouver d'autres témoignages.


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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 15:44

Expérimentation humaine sans consentement, pétition par sylvie simon

Le dimanche 15 janvier 2012, SOS-crise nous signalait que la Commission Européenne propose d’adopter un projet concernant l'expérimentation sur les humains sans leur consentement !

 

Une pétition publiée en novembre dernier par le Comité pour la Médecine préventive et le soin des patients, appelle les citoyens à arrêter les propositions de la Commission Européenne destinées à permettre, dans des situations d'urgences, l'expérimentation humaine sans consentement.

Selon ce texte, la Commission Européenne a, en effet, le projet de modifier la Directive 2001/20/EC sur les bonnes pratiques cliniques, et d'abolir le droit des patients de décider des produits qu'on peut leur administrer en cas d'urgence (par exemple en cas d'attaques ou d'autres accidents graves).

 

Il s'agit donc d'une pétition primordiale dont les signatures seront envoyées au Parlement européen au premier semestre 2012, lorsque ces propositions seront débattues.

Nous devons prendre bien conscience qu'une telle proposition pourrait être élargie à la vaccination au cours d'un « état d'urgence décrété », ce qui est tout à fait cohérent avec les récentes informations de l'AFP selon lesquelles le Commissaire européen à la Santé, John Dalli, a récemment formulé à la suite la crise du H1N1 la propositions de « permettre à la Commission Européenne de déclarer une situation d'urgence sanitaire au niveau européen. »

 

Ainsi, une nouvelle étape est en passe d'être franchie puisqu'après les propos-chocs du 5 octobre 2010, tenus par Mme Paola Testori Coggi, (directrice générale adjointe de la DG santé et protection des consommateurs de la Commission européenne) qui appelait à une vaccination de masse comme pour un troupeau, on voit qu'on est ici en train de préparer le terrain pour le recours forcé à des produits expérimentaux, dont les vaccins pandémiques font bien sûr partie, comme en témoigne d'ailleurs le contenu des contrats que les fabricants ont conclu avec les états.

 

Cette situation doit vraiment nous amener à mieux « aiguiser » notre vigilance sans qu'il soit question de paranoïa car même si c'est toujours au prétexte d'une « plus grande sécurité du consommateur », il est essentiel de percevoir sur un plan pratique que c'est ainsi, par paliers progressifs, que les droits fondamentaux s'érodent et que, in fine, l'étau se resserre sans qu'on ait forcément la garantie que, le moment venu, on ait encore la possibilité d'échapper à des traitements ou à des produits produits indésirables.

 

 Vous pouvez signer la pétition en tapant :

 

http://www.gopetition.com/petitions/forsoeg-uden-samtykke/sign.html

 

 

Envoyé par Sylvie SIMON

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 15:10

Le principe vaccinal ne relève pas de la science mais de la foi

                                               bickel-vaccins-religion

 

Grâce à la croyance généralisée mais non avérée que les vaccinations suppriment les maladies infectieuses, le dogme vaccinal représente la plus grande tromperie de l’histoire de la médecine. Les seules voix discordantes dans cet enthousiasme général proviennent soit des familles dont un ou plusieurs enfants ont été accidentés ou sont morts après un vaccin, soit des parloirs des tribunaux quand les parents poursuivent, trop souvent en vain, les laboratoires responsables.

Au cours de certaines conférences et dans les pages de prestigieux journaux médicaux, des médecins et des chercheurs scientifiques risquent leur carrière en dénoncent les effets indésirables de ces produits de consommation courante, et les parents qui accusent les laboratoires d’avoir blessé leur enfant sont confrontés à des « personnalités au-dessus de tout soupçon » qui prétendent qu’il s’agit de pures coïncidences et qu’aucun vaccin n’a jamais fait de mal à personne. Exception faite des victimes, tout le monde les croit car leurs sources sont prétendues officielles.

« Nous n’avons pas perdu la foi, nous l’avons simplement reporté sur les professions médicales », disait de son temps George Bernard Shaw. La foi en cette nouvelle religion n’a pas faibli depuis cette époque, au contraire elle est devenue un véritable fanatisme. On ne réfléchit plus, on « croit ». Et le dogmatisme vaccinal actuel pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou pouvait mettre en péril l’hégémonie de l’Église catholique. On pourrait parodier Shaw en disant que « La science est une nouvelle religion et la vaccination est son eau bénite. »

L’arrogance de certains médecins et chercheurs n’est pas surprenante, étant donné le piédestal sur lequel nous les avons placés, créant ainsi une classe d’élite à l’abri de toute contrainte et de toute suspicion. Nous avons naïvement pensé que leurs diplômes garantissaient leur « savoir » et les protégeaient de sentiments mesquins, leur seul but étant d’améliorer la vie d’autrui. Nous avons commis l’erreur de croire qu’ils étaient incapables de mentir et restaient fidèles à leur serment d’Hippocrate. Or, depuis quelques années, les revues médicales les plus sérieuses ont été obligées de démentir des publications qui avaient été accueillies avec le plus grand respect, mais s’étaient ensuite avérées frauduleuses, et il est permis de se demander pourquoi ces fraudes n’ont pas été détectées avant leur publication et pourquoi le grand public les oublie si aisément.

Le Dr Harold C. Sox, rédacteur en chef du journal Annals of Internal Medicine, a analysé cette situation dans son numéro du 18 avril 2006.  Lorsqu’un auteur a été accusé d’avoir publié de fausses études, ses pairs examinent rarement ses autres publications, ce qui mène la littérature scientifique à être plus polluée qu’on ne le soupçonne généralement. En outre, les travaux dévalués continuent longtemps, quand ce n’est pas toujours, à être pris en compte et cités en référence. Et chacun répète ce qu’il a entendu comme un perroquet. L’exemple parfait est le mythe  de « l’éradication de la variole grâce à la vaccination de masse », alors que l’OMS n’a jamais affirmé une telle contre-vérité, mais tout le monde la reprend sans jamais vérifier les sources.

N’oublions pas que la grande majorité des revues scientifiques bénéficient des annonces publicitaires de l’industrie pharmaceutique, mais aussi de la revente à cette industrie d’articles qu’elles ont déjà publiés. Malheureusement, le consommateur de produits de « santé » ignore tout de ces trafics, comme il ignore que nombre de laboratoires qui ont été condamnés pour « mensonge aggravé » continuent à leur vendre d’autres produits, avec les mêmes garanties de sécurité que celles qui ont mené à des catastrophes sanitaires.

Deux arrêts de la Cour de cassation, en date des 25 février et 14 octobre 1997, ont rappelé le droit à l’information du patient. « Le médecin a la charge de prouver qu’il a bien donné à son patient (ou aux parents si le patient est mineur) une information loyale, claire et appropriée sur les risques des investigations ou soins qu’il lui propose de façon à lui permettre d’y donner un consentement ou un refus éclairé. Ce devoir pèse aussi bien sur le médecin prescripteur que sur celui qui réalise la prescription. »

Avant toute vaccination — acte médical à part entière —, le médecin, comme « celui qui réalise la prescription », est tenu d’informer le patient des complications éventuelles. Mais comment est-ce possible puisque le médecin prescripteur ne connait souvent pas lui-même les risques qu’encourent ses patients, sa formation médicale étant sous la coupe de l’industrie qui s’évertue à le désinformer ? Ceci étant, chaque médecin devrait exiger des fabricants de vaccins la garantie écrite de ces informations qui doivent légalement être objectives, ce qui est loin d’être le cas pour l’instant. D’ailleurs, en cas de litige, les instances de santé nient la plupart du temps des effets qui ont pourtant été signalés par les laboratoires eux-mêmes.

En raison du mode de préparation et de la composition des vaccins, une justice indépendante, qui défendrait la liberté plutôt que l’obligation, pourrait assimiler tout acte vaccinal à la mise en danger d’autrui par exposition de substances toxiques en violation du principe de sécurité. Ainsi, les candidates au vaccin Gardasil ignorent toutes que le conservateur de ce vaccin est le borax (borate de sodium), classé par la réglementation européenne comme toxique depuis le 6 novembre 2008, et dont les emballages doivent légalement porter le logo à tête de mort. A-t-on jamais vu un vaccin avec une tête de mort sur l’emballage ?

Les gouvernements et les élus auront-ils le courage politique de s’émanciper et de poursuivre en justice ceux qui les ont trompés et peut-être corrompus ? C’est la question que les citoyens devraient poser à leur candidat en cette période électorale, plutôt que de laisser ces candidats échapper à ces questions primordiales en occupant l’espace avec le port du voile, le mariage homosexuel, la suppression du mot « mademoiselle » dans le langage officiel, et bien d’autres problèmes mineurs qui ne mettent pas en cause des vies entières et la santé des citoyens.

Devant l’accumulation des preuves de la toxicité des vaccins, il est temps que les agences de sécurité sanitaire des États ou de la Communauté européenne prennent dans les plus brefs délais des mesures respectant enfin les principes de précaution et de sécurité dont on parle tant et qu’on applique si rarement. Un bilan rigoureux de la politique vaccinale devrait également être établi par un collège d’experts indépendants de tout lobby pharmaceutique ou financier. Toutes les complications vaccinales devraient être référencées et chaque dossier analysé en détail. Des recherches sérieuses et véritablement « scientifiques » sur les effets des vaccins et de leurs constituants devraient également être entreprises, comme l’a fait très récemment l’Institut Koch en Allemagne et dont les résultats —affligeants pour les marchands de vaccins — n’ont pas eu droit à une seule ligne dans les grands médias français.

Dès l’apparition des préjudices, comme il en est pour les catastrophes, ne devrait-on pas envisager raisonnablement une participation financière de l’État, qui porte une lourde responsabilité dans la survenue des drames personnels et familiaux liés aux vaccinations ? Pour l’instant, seuls les effets secondaires des vaccins obligatoires, et non « fortement recommandés », sont pris en charge par les instances de santé. Pour les autres, les victimes sont confrontées à une Armada d’avocats devant lesquels ils n’ont aucun pouvoir, ni scientifique, ni financier. Quant à la justice, elle devrait pouvoir exercer le droit en toute indépendance, libérée de toute pression ou obstacle à son action. Ainsi, à l’encontre du plaignant, un éventuel lien temporel n’est reconnu que lorsque la complication survient au plus tard quelques semaines après la vaccination et une plainte avec constitution de partie civile déposée plus de trois ans après la date de la vaccination incriminée est systématiquement rejetée. Or, dans la mesure où il est maintenant formellement établi que la myofasciite ou la sclérose en plaques peuvent se manifester plusieurs années après l’injection, la justice et ses experts mandatés ne devraient plus écarter un lien temporel ou une plainte après ce délai de trois ans.

Il est donc grand temps de revoir tout le système vaccinal et de rétablir la justice et la liberté autant que la libre information au sujet des vaccins, au grand dam des laboratoires qui vendent des vaccins comme une lessive, à l’aide d’une publicité honteuse et mensongère.

Comme le disait un pédiatre anglais, « si vous voulez savoir si vous devez vacciner votre enfant, prenez un miroir et approchez-le de sa bouche. Si le miroir se ternit, c’est que l’enfant est en vie. C’est une contre-indication à toute vaccination. »

source http://www.sylviesimonrevelations.com/article-le-principe-vaccinal-ne-releve-pas-de-la-science-mais-de-la-foi-100328545.html

 

 

Sylvie Simon

 

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 13:36

Le Texas exige la vaccination contre la méningite pour tous les étudiants universitaires

natura

 

Ethan A. Huff, 13 février 2012.

 

Le gouverneur du Texas, Rick Perry, a signé une nouvelle loi qui exige que l’on injecte  le vaccin contre la méningite à tous les universitaires, y compris ceux qui vivent en dehors des campus. Ces nouvelles directives exigent que tous les étudiants en dessous de 30 ans puissent prouver qu’ils ont été vaccinés ou alors présenter un affidavit d’exemption signé avant qu’ils puissent participer aux cours. L’Association Médicale du Texas (TMA) de même que plusieurs sénateurs avaient exprimé leur profond soutien, à cette nouvelle proposition de loi S.B.1107 qui élargit encore l’emprise du gouvernement par rapport aux choix de santé des Texans.

 

[…]  Plutôt que de permettre aux étudiants d’évaluer les faits et de prendre par eux-mêmes la décision ou non de se faire vacciner, tant l’état du Texas que l’Association Médicale Texane ont décidé de contraindre tous les étudiants à se faire vacciner et ce, en dépit du fait que la maladie est extrêmement rare. Le Centre National d’Information sur les Vaccins (NVIC)  signale quelques effets secondaires graves associés au vaccin contre la méningite, comme troubles neurologiques, vision double, graves maladies de la peau,Syndrome de Stevens-Johnson et même des cas de décès.

 

http://www.naturalnews.com/034953_meningitis_vaccines_Texas_college_students.html

 

 

 

Sources d’information concernant cet article :

http://www.dcccd.edu

http://www.reporternews.com

http://www.nytimes.com

http://www.star-telegram.com

Learn more:http://www.naturalnews.com/034953_meningitis_vaccines_Texas_college_students.html#ixzz1mHgAu15O

 

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 01:07
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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 00:58
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