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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 15:06

France (La Somme) : réactions après vaccins infanrix quinta (3 ème inj.) et prevenar (2ème inj.)

eline-le-17.04-02.JPG

 

Je me permets de me joindre à vous afin de vous parler également de mon cas, j'avoue être rassurée de voir que je ne suis pas seule mais je reste tout de même paniquée à l'idée d'une nouvelle vaccination.


Voila, ma fille Eline a subi le 06/04/09 (elle avait 6 mois) la 3ème injection de l'infanrix quinta et la 2ème injection du prevenar (je précise qu'aucun effet secondaire n'est apparu aux précédentes injections). 

 

Le 09/04/09 sont apparues des difficultés à téter et une grande fatigue, puis progressivement une perte de tonus, jusqu'à devenir complètement hyporéactive et hypotonique en quelques jours. 

 

Nous sommes restées hospitalisées 11 jours pendant lesquels elle a subi scanner, angio-scanner, ponction lombaire, IRM, fond d'oeil, échographie, tests allergologiques, bilan endocrinien, bilan métabolique, caryotype... Tous normaux ainsi qu'un électroencéphalogramme qui s'est révélé ralenti, les potentiels évoqués auditifs (PEA) normaux et les potentiels évoqués sensitifs (PES) également ralentis... 

 

Le professeur de neurologie a finalement conclu qu'il s'agissait d'une rhombencéphalite post-vaccinale car sans aucun traitement, après avoir été au plus bas elle commençait a récupérer petit à petit. 

Elle est suivie par un neurologue qui, concernant les vaccinations, m'indique de ne pas poursuivre les injections de Prevenar, de changer le vaccin DTPCoq (infanrix) par le Pentavax et m'indique que pour le ROR, il n'existe pas de contre-indication.

Mon médecin traitant, lui, dit que c'est la coqueluche qui lui a fait cette réaction, donc ne veut pas de vaccin contenant cette valence.

Face à mon refus, le neurologue a fait une lettre pour l'école mais veut me revoir à ses 6 ans (elle en a 3) pour la faire vacciner avec le Revaxis.

Que ça soit pour mon fils de 6 ans ou ma fille, j'ai suspendu toutes vaccinations non obligatoires.

 

Barbara Chatelain,

France (Somme)

 

précision complémentaire par initiative citoyenne:

La-preuve-par-l-EEG

Il apparaît que pour une grande partie du corps médical, seule la mort semble constituer une contre-indication suffisamment valable et définitive à toute autre vaccination future...


 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 16:40

Témoignage Domino effets indésirables vaccins

vaccination-nourrisson

Vaccins: diphtérie, tétanos, poliomyélite et pneumocoque. Effets indésirables: boutons blancs, sommeil nocturne est devenu très agité, changement incroyable de son caractère état de prostration sans aucune autre réaction, hurlements toute la journée, présenter subitement des symptômes qui nous ont fait penser à l’autisme

J'ai pris contacte avec toutes les écoles publics crèches et maternelles de ma ville (Marseille) et la réponse que l'on me donnait le plus souvent : « Vous comprenez, il risquerait de contaminer les autres enfants dans l’établissement et de plus la loi c’est la loi »

 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 01:33

vaccin-bebe-_c_-mangostock---.jpg

Bonjour à tous,

Voici mon témoignage:

Mon fils est né le 13 septembre 2010.

Suivi dans le car ONE de la région ensuite chez un pédiatre en cabinet privé.

Il a reçu ses premiers vaccins chez le pédiatre, je n'avais pas trop confiance au personnel de l'ONE car le médecin n'était pas pédiatre.

Il a commencé à régurgité vers 6 semaines alors que j'allaitais.

Premier vaccin vers 6 semaines également...

Il a continué à régurgiter et faire d'énormes coliques jusqu'à ce qu'il mange" solide" (commencé plus tôt vu ces problèmes de digestion).

Vers 4 mois, vaccin infanrix (3ème) et Prevenar (2ème). +/- 3 semaines après, grosse bronchiolite qui a duré 3 semaines.

Vers 6 mois, vaccin Provarivax. 2-3 semaines après, Nathan commence à faire "des arrêts respiratoires".

On ne comprenait pas ce que c'était.

On a fait une batterie d'examen et il faisait des spasmes du sanglot quand quelque chose l'ennuyait.

C'est-à-dire qu'il s'arrête de respirer pour attirer l'attention.

Mais il s'arrête de respirer plus en plus longtemps (record d'apnée ;-)) et tombe dans les vap après.

Évidemment, papa-maman très stressés et pas du tout convaincu par l'explication des médecins.

Je décide enfin de retourner chez mon ancien homéopathe.

Il détecte tout de suite qu'un vaccin pose problème.

Il donne traitement pour éliminer les saletés et une fleur de bacq pour l'aider dans son "angoisse" car moi c'est comme ça que je traduis ses arrêts respiratoires.

Et surtout, donner les nos-odes homéopathiques à chaque vaccin!

Il refaisait par période des spasmes du sanglot puis se calmait un peu.

Au niveau psychomotricité, il déteste être sur le ventre, ne passe pas de coucher à assis, ne marche pas à 4 pattes.

Vers 12 mois, vaccin méningite C, recommence une période de spasme du sanglot.

Vers 13 mois, vaccin RRO priorix, refait quelques spasmes du sanglot.

Vers 14 mois, 4ème injection Infanrix. Refait encore 2-3 spasmes du sanglot.

En gros, il a eu l'artillerie lourde niveau vaccin et on peut dire qu'on a de la chance de ne pas avoir trop d'effets secondaires!

Mais depuis qu'il prend les nos-odes homéopathiques et soigné par homéopathie, il est bien plus serein, moins nerveux, plus souriant!

Maintenant, il a 15 mois, marche, et commence à mieux se débrouiller au niveau de la psychomotricité.


Noëlla Rousseau

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 01:13

Bonjour Monsieur Le Dantec,


vaccination-nourrisson.jpg


 

Votre témoignage m'a beaucoup touché par sa fin tragique et la

similitude avec ce qui nous est arrivé ; à l'énorme différence près

que notre petit garçon a pu s'en sortir.

Mon fils Maxime, plein de vie et de santé, a été vacciné le 11/12/2008

à l'age de 7 mois par Infanrix Quinta et Prevenar (3ième injection).

Moins de 24h après, une forte fièvre (+40°c) apparait avec un état

très abattu.

Nous étions prévenu qu'après une vaccination, ça pouvait

arriver.

Après 48h de forte fièvre et notre fils qui était

complètement amorphe, nous nous sommes décidés à aller aux urgences.

Rapidement, une méningite est suspectée. Une ponction lombaire le

confirme.

Plus tard, après analyse, nous apprenons qu'il s'agit d'une

méningite à pneumocques.

Notre fils est complètement inerte et

lorsqu'il réagit enfin à un stimulus, ce n'ai qu'intense souffrance

qui se lit sur son visage.

Il s'en est fallu de très très peu pour

qu'il nous quitte à ce moment là (nous sommes à 50 heures des

injections).

La vie a finallement décidé de ne pas nous le retirer. En

effet, après complications sur complications, il a fini par s'en

sortir.

A bientôt 3 ans aujourd'hui, il est beaucoup moins souvent

malade ; et à priori n'a pas de séquelles visibles.

 

Jamais un seul medecin n'a fait le rapprochement entre le vaccin et la

méningite, bien qu'on l'ait suggéré avec insistance à chaque contact

avec les dits médecins.

Le blocage à la source n'a pas pu mener à

d'éventuelles questionnements sur les adjuvants ou autres.

Le medecin

refuse même de nous fournir l'information sur le sérotype du

pneumoccoque en question. (en réalité, il ne nous répond pas malgré

plusieurs relances de notre part et même de notre medecin traitant -

celui-là même qui a vacciné).

 

1- Si vous recherchez toujours des détails, si je peux vous apporter

quelque chose, n'hésitez pas à me le demander

2- Votre témoignage date d'un peu plus de deux ans maintenant.

Peut être avez-vous entre temps reçu des témoignages présentant des

similitudes? je serais intéressé d'en avoir si c'était le cas et que

vous êtes d'accord.

3- je n'ai pas eu le courage à l'époque de déposer une plainte contre

le medecin/vaccin malgré ma colère (après coup) ; surtout quand ces

mêmes medecins m'ont fortement recommandé de le faire vacciner contre

le pneumocoques avec un nouveau vaccin.

Avez-vous de votre côté

entamer une procédure judiciaire ou autre?

Je vous souhaite une bonne continuation

Bien cordialement,

Christophe (à Lille, France)

 

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 16:04

Témoignage de Marie-Eve Paul

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Votre témoignage réveille la peine et la colère. Notre fils a survécu, mais c'est tellement d'émotion, de peur refoulées. 

L'année dernière en février, mon fils de 14 mois a été vacciné par prévenar et ROR simultanément (un vendredi).

Il était en pleine forme, comme d'habitude. Jusqu'au lundi soir. Le mardi matin, soit 4 jours après la vaccination, 40,2°C de fièvre.

La pédiatre, contactée par téléphone, nous parle de grippe.

La fièvre descend à peine malgré le paracétamol. Le soir, vers 19h nous sommes aux urgences. Heureusement, les médecins comprennent tout de suite, il est immédiatement transporté en réanimation pédiatrique.

Purpura fulminant.

Il fait 2 arrêts cardiaques lors de l'intubation, mais après 7 jours de coma artificiel, 10 jours de réanimation, 3 semaines au total d'hospitalisation, il s'en sort avec quelques cicatrices. (Les cartilages de croissance ont peut-être été touchés aussi, R doit passer un IRM prochainement).

Les médecins nous ont immédiatement parlé d'infection à pneumocoque ou méningocoque qui provoque ce syndrome qu'est le purpura fulminant.

Lors de son admission aux urgences, ils lui ont fait une prise de sang pour mettre le sang en culture et retrouver la bactérie, avant de lui administrer les antibiotiques pour combattre cette bactérie et de l'emmener en réanimation. Le problème?

Ils n'ont jamais trouvé de bactérie. Les cultures n'ont rien donné.

R a eu ensuite une ponction lombaire après 5 ou 6 jours d'hospitalisation (son état ne permettait pas de prendre ce risque avant, ils l'auraient bien fait au bout de 3 jours mais nous avons insisté pour qu'ils ne le fassent pas tout de suite).

Tout ce qu'ils ont trouvé c'est un adénovirus au fond de sa gorge, ce qui provoque un rhume, d'après les médecins.

Notre fils était en bonne santé et nullement immunodéprimé, il n'y a aucune raison qu'un adénovirus déclenche ce purpura fulminant.

 

Tout prouve que ce n'est pas une infection due à une bactérie. 

 

Nous avons essayé à plusieurs reprises de parler de nos doutes sur le vaccin prévenar aux différents médecins de l'hôpital.

On ne nous a jamais répondu ni oui, ni non, la question a toujours été contournée.

Pourtant la coïncidence est trop troublante.

Un bébé en bonne santé reçoit un vaccin et quelques jours plus tard se retrouve aux portes de la mort, avec le syndrome provoqué par la bactérie contre laquelle il a été vacciné, sans présence de cette bactérie dans le sang... étrange, troublant... mais pas pour tout le monde à priori.  

 

Notre médecin traitant a fait la déclaration auprès de l'Afssaps d'effet secondaire possible.

Son cas a donc été déclaré.

L'Afssaps a fait une recherche de cas similaire et en a trouvé un seul, un bébé de 4 mois mort des suites d'un purpura fulminant, un seul en 10 ans environ.

Mais combien de cas non déclarés?

Mon médecin traitant m'a dit que dans le dossier médical il n'était nulle part fait mention de cette vaccination 4 jours avant.

J'ai lu sur certains articles qu’environ 80% des cas d'effets secondaires ne seraient pas déclarés (c'est une estimation).

 

Si vous pouvez toucher du monde, faire parler, et que l'on puisse recenser le nombre de cas exact, ce serait déjà un grand pas.

 

Je vous souhaite beaucoup de courage pour surmonter cette épreuve difficile et j'espère que vous pourrez trouver d'autres témoignages.


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