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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 19:05
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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 01:20

Suspension des vaccins Prevenar et Rotateq au Portugal après effets secondaires graves

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21 mars 2012

 

Radiotelevisão Portuguesa

 

L'Autorité Nationale des Médicaments et des Produits de Santé (Infarmed) a décidé, par mesure de précaution, la suspension immédiate de l'utilisation des vaccins RotaTeq et Prevnar 13 pour effets indésirables graves présumés chez les enfants.


Selon une circulaire d'information d'Infarmed, ont été suspendu les Lots no. 1590AA/0671579 avec validité jusqu'au 31 mai 2013 du RotaTeq solution buvable contre le rotavirus, cause majeure de gastroentérites chez les enfants, et les N° de lot. F73745 (917690), valables jusqu'au 31 mai 2014, du vaccin injectable Prevnar 13, pour la prévention de la pneumonie.

 
«Étant donné que ces médicaments sont distribués dans les pharmacies et administrés par des professionnels de soins de santé, les entités qui ont beaucoup de ces médicaments ne doivent pas les dispenser ou les administrer et ce, jusqu'à l'achèvement de l'évaluation résultant de cette situation », conclut la note de l'autorité.
 
Selon l'édition d'aujourd'hui du JORNAL DE NOTICIAS, cette décision d'Infarmed est liée à la mort, lundi, d'un bébé de six mois dans une pépinière de Camarate, à Loures, qui avait été récemment vacciné.


Selon le directeur général de la Santé, Francis George, cité par le même quotidien, le corps de l'enfant a été autopsié mardi au Département Sud de l’Institut de médecine légale, dont les experts sont en train d’ « essayer de comprendre ce qui s'est passé» avec la «volonté de clarifier les causes de la mort ", assurant que c'est le seul cas de cette nature.  

 

Source: Radiotelevisão Portuguesa (RTP)

 

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 13:25

Le groupe d'études sur la vaccination de l'Assemblée nationale veut en savoir davantage sur le Gardasil avant de le recommander.

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Où en est la vaccination en France ? Quand et comment les autorités sanitaires doivent-elles la recommander ? Les parlementaires chargés d'étudier ces problématiques viennent de rendre leur rapport. Obligations, adjuvants, bénéfices-risques, responsabilités, calendrier vaccinal, tests de sérologie et d'immunologie : autant de thèmes abordés par le groupe d'études de l'Assemblée nationale.

Les députés se sont notamment frottés à l'épineux sujet du Gardasil, le vaccin contre le cancer du col de l'utérus, objet d'une vive polémique. Est-il un bon moyen de lutte contre le cancer du col de l'utérus ? Rien n'est moins sûr. Dans leur synthèse, les parlementaires proposent de "conduire une recherche approfondie sur l'efficacité et les effets du vaccin contre certains papillomavirus, avec la publication annuelle d'un rapport sur les bénéfices-risques". Loin de confirmer les recommandations des autorités sanitaires, le rapport préconise ainsi d'attendre. Une prise de position d'autant plus étonnante que de vastes campagnes de publicité et de vaccination ont d'ores et déjà été menées.


 Un coût "très élevé"


Le groupe d'étude est plus explicite encore, rappelant qu'un "certain nombre de questions restent encore sans réponse". Ainsi, qu'en est-il de l'efficacité de ce vaccin à long terme ? Des études évoquent une baisse d'efficacité significative après cinq ans. Quelle population vacciner pour une efficacité optimale ? La vaccination des jeunes filles pourrait, semble-t-il, être associée à un traitement des jeunes hommes. Et le texte de la commission d'évoquer que le Gardasil, vaccin actuellement sur le marché, contient du borax, "substance pour laquelle les scientifiques manquent encore de recul en ce qui concerne ses effets à long terme".

Allant encore plus loin, les parlementaires soulèvent un problème nié par nombre de médecins qui recommandent cette vaccination : bien souvent, les jeunes filles pensent à tort être protégées contre tous les cancers du col de l'utérus si elles ont subi l'injection. Elles doivent pourtant absolument continuer à se faire dépister par frottis réguliers pour être réellement protégées. Enfonçant le clou, le rapport conclut son étude sur le Gardasil d'une phrase sans équivoque : "La question de l'efficacité (du vaccin) est également à mettre en parallèle avec (son) coût très élevé pour la sécurité sociale." Alors, le vaccin contre le cancer du col de l'utérus, peut-être inutile et onéreux ? Il semble en effet qu'il soit urgent d'attendre d'en savoir plus avant de se faire vacciner.

Par 

source : http://www.lepoint.fr/sante/cancer-du-col-de-l-uterus-des-deputes-mettent-le-vaccin-en-observation-19-03-2012-1442961_40.php


 

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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 11:31
Aluminium : Un moratoire contre l aluminium dans les vaccins

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19/03/2012 | 09:15

(Commodesk) Les députés du groupe d'étude sur la vaccination ont annoncé, le 13 mars, la mise en place d'un moratoire sur l'utilisation de l'aluminium dans les vaccins. Ils préconisent de revoir la liste de vaccins obligatoires et de préciser les indications sur les emballages.

Certains chercheurs estiment que l'aluminium présent dans les vaccins, pourrait être responsable d'une pathologie neuromusculaire identifiée en 1998. Face à l'absence de publications des résultats des études officielles, les députés ont choisit le principe de précaution.

Concrètement, les choses sont loin d'être acquises, comme le rappelait le ministre du travail et de la santé, fin février, « le retrait en urgence des sels d'aluminium présents dans un grand nombre de vaccins recommandés dans le calendrier vaccinal actuel n'est pas envisageable ».

source : http://www.zonebourse.com/LME-ALUMINIUM-CASH-16159/actualite/ALUMINIUM-Un-moratoire-contre-l-aluminium-dans-les-vaccins-14223866/

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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 11:22

Le programme élargi de vaccination (PEV), comportant une dizaine de vaccins, est exploité sans aucune nouvelle AMM depuis leur premier enregistrement.(18 mars 2012)

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L’utilisation de ces produits en Algérie pour lutter contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, l’hépatite B, la rougeole, la poliomyélite ainsi que le vaccin contre la grippe saisonnière, sans la garantie d’un laboratoire concernant la qualité et un contrôle du ministère de la Santé relève, selon les spécialistes en matière de vaccination, d’un grand laxisme qui pourrait avoir de graves conséquences sur la santé des Algériens.

«Il est clair pourtant qu’après cinq ans, ces vaccins, comme tous les autres médicaments, doivent être soumis au renouvellement d’enregistrement auprès de la direction de la pharmacie au ministère de la Santé pour pouvoir être utilisés. Il peut y avoir un changement dans les procédés de fabrication, comme il peut y avoir aussi évolution des effets secondaires qu’il faut prendre en compte. Ce qui nécessite alors un nouveau dossier d’enregistrement pour garantir la qualité et la sécurité de ces produits», signale-t-on.
Mais cela ne semble pas être une préoccupation de la direction de la pharmacie au ministère de la Santé, qui doit veiller justement pour mettre à la disposition des Algériens des produits sûrs et de qualité. D’après une source proche du dossier, la direction de la prévention du même ministère a déjà soulevé cette problématique aux responsables du secteur à la veille de l’attribution de l’appel d’offres pour l’approvisionnement en vaccins contre la grippe saisonnière pour l’année 2011.

Les deux laboratoires soumissionnaires, Sanofi Pasteur et Glakso Smith Kline (GSK), ne disposaient pas d’AMM conformes. D’ailleurs, le service des enregistrements au niveau de la direction de la pharmacie au ministère de la Santé est dépassé ; des centaines de dossiers pour l’enregistrement et les AMM se sont accumulés depuis plusieurs années, au point que certains sont dans des boîtes posées à même le sol. A noter que toutes les demandes d’AMM et d’enregistrement de médicaments et de vaccins ont été bloquées par le ministre de la santé, Djamel Ould Abbès, depuis son arrivée en juin 2010, à l’exception des 28 produits enregistrés dans la précipitation, en janvier 2012, pour les faire passer dans le scandaleux appel d’offres de la PCH lancé en janvier 2011.
Outre les médicaments, près de 45 dossiers pour l’enregistrement de vaccins sont en instance.

Djamila Kourta
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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 11:03

PÉKIN, Chine

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- La justice chinoise a condamné lundi huit personnes à des peines d'emprisonnement pour avoir vendu de faux vaccins contre la rage, ce qui a notamment entraîné la mort d'un enfant, selon ce qu'a rapporté l'agence de presse officielle de l'État chinois.

Un tribunal de Guangxi, une région du sud-ouest chinois, a condamné Zhang Dazhi à 30 mois de prison, a indiqué l'agence de presse Chine Nouvelle. Sept autres individus ont écopé d'un an de prison.

Selon l'agence chinoise, les huit accusés ont vendu plus de 530 doses de faux vaccins contre la rage entre les mois d'août et décembre l'an dernier. Les injections étaient principalement composées d'eau.

Les autorités avaient lancé une enquête en décembre dernier après la mort d'un garçon de cinq ans. L'enfant a succombé à la rage malgré les six vaccins qu'il avait reçus.

L'industrie pharmaceutique est lucrative en Chine, mais est peu réglementée.

source : http://actualites.ca.msn.com/international/cp-article.aspx?cp-documentid=26840176

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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 00:31

ON NE LE DIRA JAMAIS ASSEZ ...IMPORTANT ....FAITES CIRCULER..MERCI

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Le cancer du sein

 
Le Planning Familial nous demande de diffuser le plus largement possible cette information : Le chlorhydrate d'aluminium serait la cause de très nombreux cancers du sein. Il s'agit de l'explication d'une des origines du cancer du sein..


C'est une spécialiste en biologie cellulaire qui l'a écrit, Mme Gabriela Casanova Larrosa de l'université d'Uruguay :
Ça ne fait pas longtemps que j'ai assisté a un séminaire sur le cancer du sein. Pendant la période de questions - réponses, j'ai demandé pourquoi l'aisselle est la place la plus commune pour développer le cancer du sein.

 

 Ma question n'a pas eu de réponse alors, mais je viens de recevoir un courrier ou j'ai trouvé la réponse à ma question, que je veux partager avec vous tous et toutes, La cause principale pour le cancer du sein est l'utilisation d'ANTITRANSPIRANTS. La plupart des produits sur le marché sont une combinaison d'anti-transpirants et déodorants.


Regardez, s.v.p. la composition de vos produits à la maison. S'il y en a qui contiennent du chlorhydrate d'aluminium (même sous le nom de déodorants) il faut les jeter a la poubelle et essayer des autres marques qui n'ont pas de composants sur base d'aluminium. Il y en a sur le marché.


La raison est simple. Le corps humain a seulement quelques zones susceptibles d'éliminer des toxines : derrière les genoux, derrière les oreilles, l'entrejambes et les aisselles.
Les toxines sont éliminées sous forme de transpiration.


Les anti-transpirants empêchent cette transpiration, donc évitent la mission corporelle d'élimination de toxines au travers des aisselles.
Ces toxines ne disparaissent pas. Elles sont stockées dans les Glandes lymphatiques qui se trouvent en dessous des bras. La plupart des cancers de sein sont origines dans cette région supérieure du sein.
Les hommes sont moins susceptibles de développer ce type de maladie car même s'ils utilisent les anti-transpirants, ceux-ci restent sur les poils des aisselles et ne s'appliquent pas directement sur la peau.
Les femmes qui s'appliquent ce produit tout de suite après le rasage sont en train d'accroître le risque car les petites blessures causées par le rasage font que les produits chimiques pénètrent plus facilement dans le corps.

 

Informez toutes les femmes et tous les hommes que vous connaissez.


Le cancer de sein prend aujourd'hui des proportions vraiment alarmantes. Si avec cette notice nous pouvons en éviter quelques-uns, ça ne sera jamais du temps perdu.


NB: L'info concernant les "anti transpirants" est parue dans le magazine "Nexus", il y a quelques mois. Il était expliqué que le fait que la majeure partie des cancers du sein soient situés au sein gauche, avait constitué un indice pour impliquer ces produits car la majeure partie des femmes - ainsi que des hommes...- étant droitières, elles/ils ont donc tendance à pulvériser plus de produit sous l'aisselle gauche...CQFD!
Par ailleurs les techniques utilisées lors des "examens mammaires"
étaient elles-mêmes mises en cause, comme "facteurs déclenchant (brutalité des palpations,....)
  
ROUGE A LEVRES
Quelque chose à vérifier la prochaine fois que vous achèterez un rouge à lèvres.

 

Cette information vient d'une personne qui travaille à l'unité du cancer du sein à l'hôpital Mt. Sinaï Hospital, Toronto : Dr. Nahid Neman.

Si vous connaissez une femme qui vous est chère, donnez-lui cette information.

Récemment, une marque de Rouge à lèvres du Nom de « Red Earth » a baissé le prix de son produit de $67.00 à $9.90, parce qu'il contient du plomb : le plomb est un produit chimique qui cause le cancer.
Les rouges à lèvres qui contiennent du plomb sont les marque suivantes:
 

CHRISTIAN DIOR
LANCOME, [SCHMITT Patrick] j'ai fait le test, il est devenu noir.
CLINIQUE
Y.S.L (Yves Saint Laurent)
ESTEE LAUDER
SHISEIDO

RED
EARTH (Lip Gloss)
CHANEL (Lip Conditioner)
MARKET AMERICA-MOTNES LIPSTICK.

Plus le taux de plomb est élevé, plus le risque de causer le cancer, est important... Après avoir fait des tests, il a été trouvé que Y.S.L lipstick contenait la plus grande quantité de plomb... Surveillez les rouges qui doivent avoir un effet prolongé. Si votre rouge tient plus longtemps, il contient plus de plomb.

Voici le test que vous pouvez faire vous-même:
 
1. Mettez du rouge sur votre main.
 
2. Utilisez une bague en or et grattez le rouge.

3. Si le rouge devient noir, vous saurez qu'il contient du plomb.

Veuillez envoyer cette information à toutes les femmes que vous connaissez ainsi qu'aux membres de votre famille.
 
Cette information est aussi diffusée au Walter Reed Army Medical Center."

je transmets ce message aux hommes aussi, vu qu'ils ont des soeurs des femmes et des filles ... donc diffusez svp ce message au plus grand nombre de femmes,

 

Merci !

 

 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 00:24

Comme on le dit vulgairement

 « y a pas photo » entre les vaccinés et les non vaccinés 

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Il y a près de 2 ans, Claire-Anne Siegrist, qui détient la Chaire de vaccinologie à l’université de Genève — grâce au laboratoire Mérieux — et qui vient de rejoindre le comité qui conseille le gouvernement britannique en matière de vaccination, a déclaré au journal La Tribune de Genève des 20-21 décembre 2008 qui lui consacrait sa première page : « Laissez faire la nature, c’est la sélection naturelle : l’espérance de vie à 35 ans et la moitié des enfants qui meurent avant 5 ans ».

C’est ce que les laboratoires qui fabriquent les vaccins sont parvenus à faire croire à une grande partie de la population et à certains de nos gouvernants. Comme le disait si justement le Pr Alexandre Minkowski : « Il suffit en France d'affirmer un chose avec autorité pour être cru sur parole », particulièrement si la personne qui affirme est une « autorité de référence ». Mais nous pouvons constater que ce procédé n’est pas réservé à la France, ni aux États-Unis, il est répandu à travers le monde.

Dans le même article de La Tribune de Genève, cette « meilleure spécialiste au monde des vaccins », bien connue pour ses propos aussi absurdes qu’entachés d’erreurs, en a profité pour faire aussi la promotion du vaccin contre le papillomavirus en prétendant, tout aussi mensongèrement, qu’il prévient « le cancer du col », ce qui est parfaitement faux à diverses raisons, comme Nexus l’a démontré précédemment. Il est surprenant que le journal de Genève, réputé pour son sérieux, soit le porte-parole d’affirmations aussi stupides, mais dites avec « autorité ».

La meilleure réponse médiatisée à ces allégations ridicules est arrivée d’Allemagne le 26 octobre 2010, sur la chaîne de télévision Alpenparlament TV. Ce jour-là, la chaine allemande diffusait une interview d’Angelika Kögel-Schauzt, mathématicienne, responsable de l’EFI (association d’information sur les vaccins) qui citait une étude concernant plusieurs milliers d’enfants allemands de 0 à 17 ans, donc très significative.

Cette étude, appelée KIGGS, a été menée durant trois ans, de mai 2003 à mai 2006, par l’Institut Robert Koch, le plus haute instance de santé allemande qui est au service du ministère fédéral de la Santé. Elle est pratiquement inconnue en France, et le résumé de cette longue étude a été publié dans le journal Bundesgesundheitsblatt (Vol. 49, N° 10, 2006). L’Institut poursuit actuellement cette étude au cours d’une seconde étape (2009 – 2012).

Spécialisé dans les maladies infectieuses, l’Institut Robert Koch, du nom du médecin allemand qui découvert la bactérie responsable de la tuberculose, le « bacille de Koch », a analysé en détail la santé de 17 461 enfants représentant un échantillon de toute la population. Les médecins ont recueilli 1 500 données par enfant, soit au total 20 millions de données qui répondent à toute sorte de questions sur leur santé, leur milieu social et familial, leurs analyses de sang et d’urine, leur statut vaccinal et les types de vaccins qu’ils ont reçus, afin de déterminer l’état de santé des enfants allemands dans les tranches d’âge de 0 à 2, 3 à 6, 7 à 10, 11 à 13, 14 à 17 ans. Il faut signaler que dans ce pays la vaccination n’est pas obligatoire.

Ils ont ainsi constaté des différences spectaculaires, très supérieures aux attentes, entre les vaccinés et les non vaccinés. Ainsi, les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9 % contre 10,6 %). Pour le rhume des foins, on trouve 10,7 contre 2,6 %, pour l’asthme et les bronchites chroniques 18,4 contre 2,4 %, pour les neurodermites 13,2 contre 7 %, pour l’herpès 12,8 contre 0,2 % et pour les migraines 2,5 contre 1,1 %. Il en est de même pour le diabète, les problèmes thyroïdiens, les crises d’épilepsie, l’hyperactivité.

On observe également chez eux moins de scolioses que chez les autres (5,3 contre 0,5 %), moins de problèmes de langage, car le besoin d’orthophoniste est de 6,25 contre 2,11 %. Quant aux problèmes de vue, les non vaccinées portent bien moins souvent des lunettes, comme l’avait déjà remarqué le Dr Gerhard Buchwald. Ce médecin allemand, mondialement connu pour ses travaux sur les vaccins, a constaté que les vaccins endommagent les nerfs optiques. Il avait parlé d’« épidémie de lunettes » à cause du nombre croissant de vaccins administrés aux enfants.

Les travaux de l'Institut Koch ont aussi mis l’accent sur les maladies infectieuses. Les pneumonies touchent 11,07 % des enfants vaccinés alors qu’il n’y en a que 7,75 %  chez les autres et pour les otites, on passe de 11 % à 2 %.

L’incidence des maladies infectieuses pour les 7 à 17 ans, ont été étudiées pendant les 12 mois précédent le sondage. On en a déduit que le système immunitaire des non vaccinés fonctionne normalement, alors qu’après la vaccination, il devient fou ou se bloque.

 

Mettre ici le tableau ci-joint en PNG

Il est à peu près certain que les abstracts de cette étude ne seront pas traduits en Français, ni qu’une chaîne française ne reprendra les propos d’Angelika Kögel-Schauzt sur la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV qui prouvent bien, graphiques à l’appui, que plus on vaccine, plus les enfants sont malades. Peu importe ! l’industrie pharmaceutique a de plus en plus besoin de satisfaire ses actionnaires et la vaccination est une manne inépuisable, c’est pour cela qu’on invente sans cesse de nouveaux vaccins aussi dangereux qu’inutiles et avec des injections de plus en plus fréquentes. 

 

Les enquêtes menées pour comparer la santé des enfants vaccinés et non vaccinés sont plus nombreuses qu’on ne le dit mais restent, la plupart du temps dans des tiroirs ou bien circulent exclusivement dans des milieux avertis.

En 1942, Leslie Owen Bailey, grand philanthrope et fondateur de la Natural Health Society en Australie, a recueilli dans sa propriété d’Hopewood 85 enfants dont les mères, malades ou trop pauvres,  étaient incapables de s’occuper. La plupart d’entre eux étaient encore des bébés.

Surveillée par le Child Welfare Department et les nutritionistes de l’université de Sydney, la santé des enfants était remarquable. Ils vivaient et mangeaient très sainement, particulièrement des fruits et légumes du jardin, étaient végétariens, buvaient de l’eau pure, ne prenaient pas de médicaments et surtout, ils n’ont jamais été vaccinés.

La seule maladie qu’ils ont attrapée à l’époque fut la varicelle, dont ils ont guéri très rapidement, buvant seulement de l’eau et des jus de fruit.

En 1947, le Dr N.E. Goldsworthy, un médecin à la tête de l’Institut dentaire de Sydney, entreprit une longue étude sur l’état des dents de ces enfants durant plus de dix ans. Cette étude montre que les enfants de Hopewood avaient 16 fois moins de problèmes dentaires que les autres enfants du pays. Le Dr Goldsworthy déclara que cela tenait du « miracle » et dépassait même les performances des enfants de Nouvelle Guinée, réputés pour avoir les « meilleures dents du monde ».

L’ensemble de la profession médicale australienne accorda un intérêt particulier à l’état de santé de ces enfants et Sir Lorimer Dodds et le Dr D. Clements, qui dirigeait alors le secteur de la Nutrition des enfants à l’université de Sydney, surveillèrent leur santé durant 9 années. Ils déclarèrent ensuite qu’ils n’avaient jamais vu des enfants en aussi excellente santé et Zoe Benjamin, psychologue pour enfants, remarqua leur indépendance d’esprit et leur joie de vivre.

Ces enfants sont un exemple frappant de l’efficacité d’une vie naturelle sans aucun vaccin. Leur histoire est évoquée longuement dans les revues australiennes de la société Natural Health (Volumes 3, 4, 5 et 6).

Hopewood est à présent un centre de retraite reposant où l’on peut suivre des cours et des conférences sur l’aromathérapie, l’alimentation, une vie saine, mais on s’est empressé d’oublier à travers le monde les résultats remarquables obtenus grâce à la non vaccination d’enfants, nés pourtant sous de mauvais hospices.

 

 Le Dr Michel Odent a dirigé le service chirurgie et la maternité de l'hôpital de Pithiviers de 1962 à 1985, puis s’est installé à Londres, où il  milite au niveau international en faveur d'un changement des pratiques, en se basant sur l'ensemble des données scientifiques actuelles. Il a accompli un remarquable travail sur les conséquences de la vaccination contre la coqueluche.

En 1994, il a publié une étude dans laquelle il comparait l’incidence de l’asthme entre 243 enfants vaccinés contre la coqueluche et 203 qui ne l’étaient pas. Les enfants vaccinés avaient 5 fois plus de chance de souffrir de crises d’asthme et 2 fois plus d’avoir des infections de l’oreille que les non vaccinés. En 1997, une autre étude rétrospective menée sur 1934 patients nés entre 1975 et 1984 dans l’Oxfordshire en Angleterre, montre que les enfants vaccinés contre la coqueluche avaient 75 % de plus que les autres de devenir asthmatiques ou d’attraper la fièvre des foins.

Aux yeux de ce spécialiste, les programmes de vaccination ont produit des générations de mères dont l’indigence des anticorps vaccinaux ne permet plus de protéger leurs bébés de la coqueluche, ce qui explique qu’ils l’attrapent et en meurent parfois dans les premières semaines de leur existence. Lorsque ceux qui ont résisté sont devenus adultes, ils sont victimes de toux chronique, d’asthme, d’allergies et infections diverses, car ils n’ont pas été en contact avec la bactérie qui aurait contribué à construire leurs défenses naturelles.

Le vaccin anticoquelucheux a fait disparaître les symptômes de la maladie qui, aujourd’hui, n’existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes bien plus graves de cette maladie qui atteint à présent les adultes et les adolescents, ainsi que les nourrissons.

 

Une étude approfondie, consacrée à la responsabilité des vaccins sur l’incidence de l’autisme, a été entreprise aux États-Unis, par un journaliste d’investigation, Dan Olmsted, alors que le gouvernement fédéral s’acharnait à retarder les études sur leur toxicité. En recherchant des enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins — ce qui est rare dans ce pays — afin qu’ils servent de « cas contrôle » des expériences, Olmsted s’est adressé aux Amish du district de Lancaster, en Pennsylvanie, dont les convictions religieuses s’opposent à la vaccination. Chez eux, les autistes sont pratiquement inexistants.

Il s’aperçut alors que, d’après le pourcentage d’autistes sur le plan national, il aurait dû en trouver 130 chez les Amish. Or, il n’en trouva que 4. L’un d’entre eux avait été longtemps exposé à un fort taux de mercure à cause d’un générateur, les trois autres étaient vaccinés.

Lorsqu’il fit part de cette découverte au Dr. Julie Gerberding, du CDC, elle lui répondit qu’elle n’avait aucun intérêt car les Amish avaient des « dispositions génétiques qui les rendaient différents des autres populations des États-Unis ». Il est surprenant que pour justifier une position indéfendable, ce médecin ayant d’importantes responsabilités ait osé dire qu’une religion hors norme peut modifier les gènes qui deviennent alors hors norme. Les croyances auraient-elles un impact sur les gènes ?

Dan Olmsted étudia ensuite une autre communauté, non religieuse mais  qui est loin d’être une secte, le Homefirst Health Services de Chicago, qui a un point commun avec les Amish : les enfants ne sont pas vaccinés et ne sont jamais autistes. Olmsted publia son enquête en décembre 2005.

Le Homefirst Health Services est une association de médecins de Rolling Meadows dans la banlieue de Chicago, fondée en 1973. Ces médecins accouchent les femmes chez elles, puis suivent les enfants pendant leur enfance et leur adolescence. Le Dr Mayer Eisenstein, directeur médical de l’organisation, signale : « Depuis des années, nous avons suivi 30 à 35 000 enfants dès leur naissance, et nous n’avons pas rencontré un seul cas d’autisme parmi les enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins. Nos médecins ont aidé à faire naître plus de 15 000 bébés dont la plupart n’ont jamais été vaccinés. Les quelques rares cas d’autisme ont été décelés chez des enfants vaccinés avant que leurs mères ne s’adressent à nous pour leur enfant suivant. »

Ces enfants, qui fréquentent les écoles publiques de l’Illinois, ont permis de faire baisser les moyennes d’autistes de cet État à 38 pour 10 000, d’après le ministère de l’éducation, alors que, d’après le CDC, elles sont de 60 pour 10 000 dans le reste du pays.

Le Dr Eisenstein, également diplômé en statistiques, en droit et en santé publique, ajoute que ces chiffres sont significatifs et qu’il est impossible d’ignorer la différence. Les vaccinations sont obligatoires dans l’Illinois, mais l’État accepte les exemptions pour raisons religieuses. Homefirst laisse les parents libres de leur choix, mais Eisenstein critique ouvertement la politique de vaccination du CDC depuis les années 1990. Il est l’auteur du livre Don't Vaccinate Before You Educate ! (Ne vaccinez pas avant d’éduquer).

Le Dr Paul Schattauer, qui fait partie du Homefirst depuis 20 ans et traite au moins 100 enfants par semaine, confirme : « Tout ce que je sais est que dans ma pratique, je ne rencontre pas d’autistes. Nous sommes loin des un sur 166 cas officiels dans notre pays. » En 1991, on ne trouvait qu’un enfant autiste sur 2 500 dans cette région.

Le Dr Schattauer a également confirmé que les enfants traités par les médecins du Homefirst sont rarement sujets à l’asthme et au diabète juvénile, alors que le pourcentage d’asthme chez les enfants est d’environ 10 % pour le reste de la population. Commentaire du Dr Eisenstein : « J’ai d’abord cru que cette protection était due à l’allaitement maternel ; mais nous trouvons des asthmatiques chez les enfants nourris au sein alors qu’il n’y en a pas chez les enfants nourris au sein et non vaccinés. »

Au début de l’année 2005, le Dr Jeff Bradstreet, pédiatre en Floride, spécialiste de l’autisme, a confirmé qu’on ne trouve pratiquement aucun cas d’autisme chez les enfants non vaccinés pour des raisons religieuses et élevés au sein de leur famille afin d’échapper aux vaccinations scolaires, ce qui rejoint les observations du Dr Eisenstein et celles de Dan Olmsted.

Actuellement, aucun responsable des vaccinations n’accepte d’accorder le moindre crédit au fait qu’il n’existe pas d’autisme chez les Amish, ni dans les rangs de Homefirst à Chicago, ni chez les enfants scolarisés dans leur famille. Ce fait constitue une omission très significative. Et la plupart des psychanalystes interrogés sur le sujet prétendent que l'autisme pourrait être la conséquence d'une dépression maternelle, d'une mauvaise relation avec l'enfant, voire d'un refus de l'apport masculin pour la conception. Certains osent même accuser des stades de folie transitoire chez la mère, ou même des désirs incestueux. C’est évidemment plus confortable de proférer de telles âneries que de remettre en question le dogme vaccinal.

Ces études concernent particulièrement les cas d’autisme, mais la santé générale des enfants Amish ou du Homefirst de  Chicago est bien meilleure que celle des autres enfants américains.

Il est notoire qu’il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, mais, dans ce cas précis, les instances de santé sont criminelles de ne pas essayer de comprendre la raison de l’augmentation effrayante de cette maladie et, surtout, pourquoi elle ne touche pas les enfants non vaccinés.

 

Après avoir travaillé aux États-Unis au Centre des sciences respiratoires de l’université de Tucson, en Arizona,  puis à la Clinical Effectiveness de la  Harvard School of Public Health à Boston, Erika von Mutius dirige la policlinique d’allergie et asthme au centre hospitalier universitaire pour enfants de Munich. Elle fait également partie du conseil rédactionnel du New England Journal of Medicine.

Le groupe de recherche de Pr Von Mutius s’est consacré à l’étude du rôle des expositions microbiennes dans le développement des allergies et de l’asthme. En 1999, ils ont comparé l’état de santé des enfants de Berlin Est et Ouest avant la chute du mur, pensant que les enfants de Berlin Est plus pauvres, moins soignés et mal nourris seraient en plus mauvais état de santé que leurs voisins de l’Ouest. Or, ils ont alors constaté que la réalité était à l’opposé de leur hypothèse. « Les enfants des régions les plus pauvres d’Allemagne de l’Est étaient en bien meilleur état de santé que ceux des familles aisées de l’Allemagne de l’Ouest. Leur taux d’allergie était bien inférieur et ils étaient rarement victimes d’asthme. L’équipe fut forcée de remettre en question ses observations qui rejoignent celles des « hygiénistes » qui pensent que l’exposition aux microbes dès l’enfance aide à renforcer le système immunitaire et préserve ainsi la santé des adultes.

En outre, une autre étude a montré que 5 à 10 % des enfants de 4 à 6 ans ont des verrues et que dans le groupe d’âge de 16 à 18 ans, on en trouve chez 15 à 20 %. Or, chez les enfants non vaccinés cette étude n’en a trouvé que 3 %.

(http://www.netdoktor.at/health_center/dermatologie/warzen.htm)

 

Quant à la mortalité infantile, elle augmente avec le nombre de vaccins reçus, étant plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus. C’est ce que suggèrent de nombreuses études internationales, dont la plus récente a été publiée le 4 mai 2011 dans la revue Human and Experimental Toxicology par Neil Z. Miller, journaliste médical américain, et le Dr Gary Goldman, gynécologue, spécialiste de la varicelle, auteur de nombreuses publications dans JAMA « Journal of American Medical Association), et le BMJ (British Medical Journal). 

Ils ont passé en revue toute la littérature afin de comparer le nombre de doses de vaccins administrés aux États-Unis et dans 33 autres pays et leur taux respectifs de mortalité infantile. Leur étude a démontré que le taux de mortalité infantile et les doses de vaccin suivent la même courbe. Ainsi, aux États-Unis, pays qui détient le record mondial de vaccinations (26 au minimum), on compte plus de 6,22 décès pour 1 000 naissances. En France où l’on recommande 19 doses, on enregistre 3,33 décès pour 1 000 naissances. En Suède où l’on n’administre « que » 12 vaccins, on compte 2,75 décès et au Japon, où le nombre de vaccinations est identique, le nombre de décès est de 2,79 pour 1 000. (cf. Miller, N. Z., Goldman, G. S. (2011). « Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given : Is there a biochemical or synergistic toxicity ? », in Human & Experimental Toxicology.

Philip Incao, Pr de médecine à Denver, estime que la santé des enfants de son pays s’est beaucoup détériorée depuis 1960 avec la large utilisation des vaccins : « Pendant 23 ans j'ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. D'autre part, les premiers n'ont pas souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres ».

Il a bien étudié le Syndrome de la Mort subite et inexpliquée du Nourrisson (MSIN) qui contribue au nombre élevé de décès constatés chez les nouveau-nés : « Chez ces enfants de moins d'un mois qui sont morts, la plupart des décès ont été classifiées comme MSIN. Cependant, dans le passé, ce syndrome n'a jamais frappé d'enfants aussi jeunes et la MSIN est officiellement observée seulement après un mois d'âge. […] Quoique le VAERS ait été créé selon la loi fédérale pour permettre une évaluation plus précise des risques de vaccination et bien que les données brutes soient analysées, les rapports individuels de d’accident ou de décès sont rarement, s'ils le sont, examinés. »

De son côté, le Docteur Jane Orient, spécialiste de médecine interne à Tucson, Arizona et Directeur de l'Association de Médecins américains et des Chirurgiens a déclaré : « La présence de découvertes comme l'œdème cérébral chez les enfants en bas âge sains qui meurent très peu de temps après la réception du vaccin contre l'hépatite B est inquiétante, particulièrement en vue de la fréquence de symptômes neurologiques dans le VAERS. »

Dès 1986, le Pr R. Bastin nous avertissait dans Le Concours médical du Ier février : « Nous retrouvons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

En réponse à la demande d’un confrère concernant les vaccins et la mort subite du nourrisson, le Dr P. Touze osait écrire quelques années plus tard : « […] je crois qu’il faut cesser d’incriminer les vaccins dans la survenue de la mort subite inexpliquée du nourrisson. C’est mauvais pour le moral de la population vaccinée... et pour celui des vaccinateurs. » Cette lettre, publiée dans Le Concours médical du 25 mars 1995, montre bien l’état d’esprit qui règne chez certains médecins, pour lesquels il est sans doute préférable de laisser mourir quelques nourrissons plutôt que de saper le moral des vaccinateurs !

 

Au Japon, l'introduction en 1947 du vaccin anticoquelucheux avait induit un tel nombre d'accidents qu'il fallut créer un fonds spécial d'indemnisation, ce qui porta atteinte au crédit de la vaccination, laquelle fut suspendue en 1975  et qu'il fut jugé nécessaire d'introduire un nouveau vaccin, dit « amélioré », pour rassurer les parents. Un vaccin « acellulaire » est aujourd'hui administré aux enfants entre 2 et 4 ans. Néanmoins, les demandes d'indemnisation qui ont été signalées, sans compter les cas non déclarés, prouvent que le vaccin acellulaire n'est pas plus sûr que l'autre. (cf. Pediatr. Infect. Dis. J. - vol 9 - n° 10 - 1990). Cependant, en différant la vaccination contre la coqueluche après l’âge de deux ans, les japonais ont constaté une baisse très importante de la mort subite et inexpliquée du nourrisson, ce qui prouverait bien que le vaccin joue effectivement un rôle dans le syndrome (cf. J. D. Cherry « Pertussis vaccine encephalopathy » in Jama - 1990). Il est indéniable que l'acte vaccinal représente un facteur primordial de déclenchement de l’arrêt respiratoire.

Déjà, en 1970, le Dr Archie Kalokerinos du Biological Research Institute d’Australie avait réussi à inverser la mortalité infantile de la population aborigène dans le bush australien en différent les vaccinations. Avec son confrère le Dr Glen Dettmann, le Dr Kalokerinos a découvert un lien évident entre la déficience immunologique provoquée par la vaccination et le syndrome de la mort subite et inexpliquée du nourrisson.

Mais en France, pays de Pasteur, les instances de santé ignorent ou font semblant d’ignorer toutes ces parutions qui devraient ébranler le dogme vaccinal. Espérons que le travail de l’Institut Robert Koch sera mondialement médiatisé et fera enfin tomber l’omerta qui règne sur ce sujet.

 

 (On peut voir l’interview d’Angelika Kögel-Schauzt, sur plusieurs sites Internet)

 

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 16:58

L'avocate spécialisée dans les affaires ayant trait

aux vaccinations, est menacée de poursuites pénales.

Patricia Finn 

L’Etat de New York exige qu’elle livre les noms de tous ses clients.

___________________________________________________________

Par Mike Adams, Naturalnews, 28 février 2012 (Extraits)

 

L’avocate Patricia Finn qui s’est spécialisée dans les affaires ayant trait aux vaccinations est visée par le neuvième district Judiciaire de l’état de new York qui l’a menacée de lui retirer son droit d’exercer et même menacée de poursuites pénales.

 

Finn est aux Etats-Unis l’une des avocates qui aident les parents à défendre leurs droits de protéger leurs enfants par rapport à des vaccins potentiellement nocifs. Beaucoup la considèrent comme une héroïne, alors que les partisans du statu quo voient en elle une véritable scélérate qui ose se dresser contre un état policier protecteur des vaccins.

 

J’ai personnellement interviewé Patricia Finn hier soir (27 février 2012). J’ai pu lire les documents présentant les charges à son encontre.

 

L’un de ces documents ayant trait à la défense des personnes qui revendiquent leurs droits de se protéger des vaccins était considéré comme « une menace de l’intérêt public ». Aider ces personnes sur un plan légal et éthique à éviter des vaccins toxiques mettrait donc le public en danger ! Cette accusation n’a absolument aucun sens logique étant donné que même les promoteurs de vaccins prétendent que leurs vaccins offrent une immunité absolue et totale contre les maladies infectieuses. Comment dès lors un enfant non vacciné pourrait-il de quelque manière que ce soit menacer la santé d’un enfant vacciné ?

 

L’état de New York exige que Patricia Finn lui remette  immédiatement la liste complète de tous ses clients. Ce document a, chez moi, en quelque sorte servi de sonnette d’alarme. Il s’agit ici non seulement d’une violation flagrante des prérogatives de la relation avocat/client ; mais aussi d’une tentative à peine voilée du pouvoir judiciaire New Yorkais de terroriser les parents qui cherchent une aide juridique pour échapper à de dangereux vaccins.

 

Au cours de l’interview Patricia Finn m’a déclaré qu’elle refuserait absolument de remettre la liste de ses clients et que la demande même qui lui était adressée constituait une violation de la loi. Elle m’a déclaré qu’elle préférait perdre sa licence d’avocate que de trahir la confiance de ses clients.

 

Dans un article écrit par Curt Linderman, Patricia décrit les événements qui ont conduit  l’état de New York à tenter de mettre fin à sa carrière.

 

Ce matin, j’ai reçu des papiers qui concernaient la suspension de ma licence d’avocate. Les charges étaient fausses. L’ordre m’était aussi intimé de révéler les noms des personnes que je défends et qui ne se font pas vacciner…Je refuse de faire cela. Je préférerais aller en prison plutôt que de donner ces noms. S’il vous plaît contactez les organisations qui défendent le droit à un choix libre et éclairé, comme aussi les médias… Renseignez-vous et découvrez la vérité. J’ai appelé ce type de harcèlement « l’effet Wakefield » !

 

L’effet Wakefield a trait à la censure et à l’oppression scandaleuses et illégales exercées à l’encontre de tout qui s’oppose fermement aux mensonges de l’industrie du vaccin. Le simple fait de s’interroger sur la mythologie des vaccins  fait instantanément de vous la cible pour une campagne de dénigrement, de ridicule et d’humiliation.

 

Robert Scott Bell et Jon Rappoport viennent de publier un étonnant cours audio qui démantèle complètement les mensonges et les mythes  de l’industrie du vaccin. Ce cours vous fournit toutes les informations nécessaires pour vous protéger de ces zélateurs du vaccin.

 

Source: Naturalnews

et initiative citoyenne

 


 

Des pressions sur les parentssur les médecinssur les chercheurs, à présent sur les avocats. Des lois que les officiels espèrent contourner ou même « remodeler » pour maintenir ou instaurer des obligations vaccinales illégitimes,…tout est bon pour sauver l’image des vaccins et renforcer leur usage irraisonné ! Toutefois, de plus en plus de citoyens semblent voir clair et la fin de ce qu’il convient d’appeler un système mafieux (avec l’intimidation qui lui est propre) vit sans doute ses derniers mois, tout au plus ses dernières années.

 

 

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 15:10

Le principe vaccinal ne relève pas de la science mais de la foi

                                               bickel-vaccins-religion

 

Grâce à la croyance généralisée mais non avérée que les vaccinations suppriment les maladies infectieuses, le dogme vaccinal représente la plus grande tromperie de l’histoire de la médecine. Les seules voix discordantes dans cet enthousiasme général proviennent soit des familles dont un ou plusieurs enfants ont été accidentés ou sont morts après un vaccin, soit des parloirs des tribunaux quand les parents poursuivent, trop souvent en vain, les laboratoires responsables.

Au cours de certaines conférences et dans les pages de prestigieux journaux médicaux, des médecins et des chercheurs scientifiques risquent leur carrière en dénoncent les effets indésirables de ces produits de consommation courante, et les parents qui accusent les laboratoires d’avoir blessé leur enfant sont confrontés à des « personnalités au-dessus de tout soupçon » qui prétendent qu’il s’agit de pures coïncidences et qu’aucun vaccin n’a jamais fait de mal à personne. Exception faite des victimes, tout le monde les croit car leurs sources sont prétendues officielles.

« Nous n’avons pas perdu la foi, nous l’avons simplement reporté sur les professions médicales », disait de son temps George Bernard Shaw. La foi en cette nouvelle religion n’a pas faibli depuis cette époque, au contraire elle est devenue un véritable fanatisme. On ne réfléchit plus, on « croit ». Et le dogmatisme vaccinal actuel pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou pouvait mettre en péril l’hégémonie de l’Église catholique. On pourrait parodier Shaw en disant que « La science est une nouvelle religion et la vaccination est son eau bénite. »

L’arrogance de certains médecins et chercheurs n’est pas surprenante, étant donné le piédestal sur lequel nous les avons placés, créant ainsi une classe d’élite à l’abri de toute contrainte et de toute suspicion. Nous avons naïvement pensé que leurs diplômes garantissaient leur « savoir » et les protégeaient de sentiments mesquins, leur seul but étant d’améliorer la vie d’autrui. Nous avons commis l’erreur de croire qu’ils étaient incapables de mentir et restaient fidèles à leur serment d’Hippocrate. Or, depuis quelques années, les revues médicales les plus sérieuses ont été obligées de démentir des publications qui avaient été accueillies avec le plus grand respect, mais s’étaient ensuite avérées frauduleuses, et il est permis de se demander pourquoi ces fraudes n’ont pas été détectées avant leur publication et pourquoi le grand public les oublie si aisément.

Le Dr Harold C. Sox, rédacteur en chef du journal Annals of Internal Medicine, a analysé cette situation dans son numéro du 18 avril 2006.  Lorsqu’un auteur a été accusé d’avoir publié de fausses études, ses pairs examinent rarement ses autres publications, ce qui mène la littérature scientifique à être plus polluée qu’on ne le soupçonne généralement. En outre, les travaux dévalués continuent longtemps, quand ce n’est pas toujours, à être pris en compte et cités en référence. Et chacun répète ce qu’il a entendu comme un perroquet. L’exemple parfait est le mythe  de « l’éradication de la variole grâce à la vaccination de masse », alors que l’OMS n’a jamais affirmé une telle contre-vérité, mais tout le monde la reprend sans jamais vérifier les sources.

N’oublions pas que la grande majorité des revues scientifiques bénéficient des annonces publicitaires de l’industrie pharmaceutique, mais aussi de la revente à cette industrie d’articles qu’elles ont déjà publiés. Malheureusement, le consommateur de produits de « santé » ignore tout de ces trafics, comme il ignore que nombre de laboratoires qui ont été condamnés pour « mensonge aggravé » continuent à leur vendre d’autres produits, avec les mêmes garanties de sécurité que celles qui ont mené à des catastrophes sanitaires.

Deux arrêts de la Cour de cassation, en date des 25 février et 14 octobre 1997, ont rappelé le droit à l’information du patient. « Le médecin a la charge de prouver qu’il a bien donné à son patient (ou aux parents si le patient est mineur) une information loyale, claire et appropriée sur les risques des investigations ou soins qu’il lui propose de façon à lui permettre d’y donner un consentement ou un refus éclairé. Ce devoir pèse aussi bien sur le médecin prescripteur que sur celui qui réalise la prescription. »

Avant toute vaccination — acte médical à part entière —, le médecin, comme « celui qui réalise la prescription », est tenu d’informer le patient des complications éventuelles. Mais comment est-ce possible puisque le médecin prescripteur ne connait souvent pas lui-même les risques qu’encourent ses patients, sa formation médicale étant sous la coupe de l’industrie qui s’évertue à le désinformer ? Ceci étant, chaque médecin devrait exiger des fabricants de vaccins la garantie écrite de ces informations qui doivent légalement être objectives, ce qui est loin d’être le cas pour l’instant. D’ailleurs, en cas de litige, les instances de santé nient la plupart du temps des effets qui ont pourtant été signalés par les laboratoires eux-mêmes.

En raison du mode de préparation et de la composition des vaccins, une justice indépendante, qui défendrait la liberté plutôt que l’obligation, pourrait assimiler tout acte vaccinal à la mise en danger d’autrui par exposition de substances toxiques en violation du principe de sécurité. Ainsi, les candidates au vaccin Gardasil ignorent toutes que le conservateur de ce vaccin est le borax (borate de sodium), classé par la réglementation européenne comme toxique depuis le 6 novembre 2008, et dont les emballages doivent légalement porter le logo à tête de mort. A-t-on jamais vu un vaccin avec une tête de mort sur l’emballage ?

Les gouvernements et les élus auront-ils le courage politique de s’émanciper et de poursuivre en justice ceux qui les ont trompés et peut-être corrompus ? C’est la question que les citoyens devraient poser à leur candidat en cette période électorale, plutôt que de laisser ces candidats échapper à ces questions primordiales en occupant l’espace avec le port du voile, le mariage homosexuel, la suppression du mot « mademoiselle » dans le langage officiel, et bien d’autres problèmes mineurs qui ne mettent pas en cause des vies entières et la santé des citoyens.

Devant l’accumulation des preuves de la toxicité des vaccins, il est temps que les agences de sécurité sanitaire des États ou de la Communauté européenne prennent dans les plus brefs délais des mesures respectant enfin les principes de précaution et de sécurité dont on parle tant et qu’on applique si rarement. Un bilan rigoureux de la politique vaccinale devrait également être établi par un collège d’experts indépendants de tout lobby pharmaceutique ou financier. Toutes les complications vaccinales devraient être référencées et chaque dossier analysé en détail. Des recherches sérieuses et véritablement « scientifiques » sur les effets des vaccins et de leurs constituants devraient également être entreprises, comme l’a fait très récemment l’Institut Koch en Allemagne et dont les résultats —affligeants pour les marchands de vaccins — n’ont pas eu droit à une seule ligne dans les grands médias français.

Dès l’apparition des préjudices, comme il en est pour les catastrophes, ne devrait-on pas envisager raisonnablement une participation financière de l’État, qui porte une lourde responsabilité dans la survenue des drames personnels et familiaux liés aux vaccinations ? Pour l’instant, seuls les effets secondaires des vaccins obligatoires, et non « fortement recommandés », sont pris en charge par les instances de santé. Pour les autres, les victimes sont confrontées à une Armada d’avocats devant lesquels ils n’ont aucun pouvoir, ni scientifique, ni financier. Quant à la justice, elle devrait pouvoir exercer le droit en toute indépendance, libérée de toute pression ou obstacle à son action. Ainsi, à l’encontre du plaignant, un éventuel lien temporel n’est reconnu que lorsque la complication survient au plus tard quelques semaines après la vaccination et une plainte avec constitution de partie civile déposée plus de trois ans après la date de la vaccination incriminée est systématiquement rejetée. Or, dans la mesure où il est maintenant formellement établi que la myofasciite ou la sclérose en plaques peuvent se manifester plusieurs années après l’injection, la justice et ses experts mandatés ne devraient plus écarter un lien temporel ou une plainte après ce délai de trois ans.

Il est donc grand temps de revoir tout le système vaccinal et de rétablir la justice et la liberté autant que la libre information au sujet des vaccins, au grand dam des laboratoires qui vendent des vaccins comme une lessive, à l’aide d’une publicité honteuse et mensongère.

Comme le disait un pédiatre anglais, « si vous voulez savoir si vous devez vacciner votre enfant, prenez un miroir et approchez-le de sa bouche. Si le miroir se ternit, c’est que l’enfant est en vie. C’est une contre-indication à toute vaccination. »

source http://www.sylviesimonrevelations.com/article-le-principe-vaccinal-ne-releve-pas-de-la-science-mais-de-la-foi-100328545.html

 

 

Sylvie Simon

 

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