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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 00:33

Communiqué de Raphaël Sirjacobs & Béatrice Dupont (parents de Stacy) du 20 janvier 2012 sur la marche citoyenne à Bruxelles pour la liberté vaccinale & le droit à l’information.

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« Si nous avions été correctement informés, nous aurions personnellement choisi de ne pas faire vacciner nos jumelles et Stacy serait peut-être encore en vie aujourd’hui. »

 

 

C’est parce que nous avons tout simplement fait confiance que nous avons fait vacciner nos jumelles à l’ONE, en octobre dernier. Une semaine plus tard, Stacy décédait et Lesly continuait de souffrir d’effets secondaires non négligeables comme des apnées.

 

Entre-temps, nous nous sommes informés et nous avons découvert un monde opaque où la désinformation et les conflits d’intérêts règnent en maîtres. Mais nous avons également eu connaissance de pas mal d’autres témoignages de parents d’enfants eux aussi victimes, dont plusieurs sont décédés dans des circonstances similaires, comme Nova Ledantec (en France).

 

Comme nous avons hélas pu le constater, ces effets secondaires graves sont le plus souvent taxés de « coïncidences » et les vaccins systématiquement blanchis.

Or combien d’autres parents dans notre cas n’ont pas eu le courage ou la force d’entamer des actions en justice qui auraient pu faire parler d’eux ?

 

Il faut dire que ce genre de procédures requiert une bonne dose de détermination, comme en témoigne le refus d’autopsie auquel nous sommes confrontés et ce alors qu’une loi belge de 2003 impose pourtant de la réaliser pour tout décès inopiné d’enfant de moins de 18 mois !

 

Tout ceci démontre donc le caractère très sensible de ce genre de dossier et tend à montrer que les risques des vaccins sont fort sous-estimés et donc mal évalués.

Car il faut par exemple savoir, comme plusieurs études scientifiques l’ont démontré, que les vaccins peuvent affaiblir le système immunitaire, rendant ainsi la personne beaucoup plus réceptive et sensible à toutes sortes d’infections opportunistes pouvant s’avérer mortelles.

 

Dans ces conditions, nous estimons qu’il est totalement illégitime et irresponsable d’aller imposer des vaccins potentiellement aussi risqués à des enfants qui n’ont rien demandé.

C’est le sens de cette marche citoyenne aujourd’hui à Bruxelles : réclamer la liberté et le droit à l’information qui va de pair car sans information, il n’y a pas de véritable liberté de choix. C’est en fait réclamer tout simplement l’application de cette loi de 2002 sur les droits des patients qui visiblement, peine à s’appliquer dans le domaine de la vaccination…

 

Pour conclure, une phrase qui résume parfaitement notre démarche mérite d’être rappelée. Elle émane d’une association australienne d’information sur les vaccins (Vaccination Risk Awareness Network) :

 

« Il y a tant de doutes, de confusions et d’incertitudes au sujet des risques et des bienfaits des vaccinations que, dans une démocratie fondée sur le droit, il est moralement, éthiquement et scientifiquement impossible de justifier la pratique de vaccinations obligatoires et systématiques. »

 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 00:28

MANIFESTATION POUR LA LIBERTE VACCINALE ET LE DROIT A L’INFORMATION

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Discours d’Initiative Citoyenne du 20 janvier 2012

 

Chers amis,

 

Initiative Citoyenne, pour ceux qui l'ignorent, est un collectif citoyen de fait pour la liberté vaccinale et le droit à l'information,

un collectif déjà rejoint par plus de 1500 sympathisants et des dizaines de médecins et professionnels de santé.

Un collectif qui défend le droit des citoyens au libre choix thérapeutique et au consentement libre et éclairé.

 

Initiative Citoyenne s'est créée à l'occasion de la fausse pandémie de  H1N1 afin d'obtenir toute la transparence et les informations essentielles sur le rapport bénéfice/risques des vaccins dans un contexte opaque de mesures d'urgence et de lois d'exception. Bien que nous ayons été à chaque fois déboutés en justice, la publication en mai 2010 du contrat secret d'achat de vaccins H1N1 a démontré par a+b que nous avions raison sur toute la ligne depuis le début et qu'il s'agissait bel et bien de vaccins expérimentaux.

 

Par la suite, Initiative Citoyenne a mené d'autres actions d'investigation et de transparence sur les conflits d'intérêts des experts et sur d'autres problématiques comme la vaccination scolaire anti-HPV. Dans ce cadre, nous avons envoyé fin août dernier une lettre par recommandé aux Ministres Laanan et Simonet de la Communauté Française qui ont éludé toutes nos questions. Lorsque nous avons peu après écrit à toutes les directions d'écoles secondaires en Communauté Française et aux associations de parents au sujet de cette même vaccination scolaire anti-HPV, nous n'avons reçu aucune réponse. Et pourtant, là encore, il s'avère que nous avions parfaitement raison comme vient encore récemment de le démontrer la publication de deux chercheurs canadiens dans Annals of Medicine, pointant notamment du doigt les risques graves des vaccins, tus aux patients en violation des dispositions sur le consentement éclairé. Des jeunes filles subissent des pressions et sont vaccinées de force, d'autres témoignent de leur calvaire dans la presse en racontant à quel point elles regrettent. C'était entre autres cela qu'Initiative Citoyenne espérait éviter via diverses démarches essentielles de clarification.

 

En octobre dernier, la Fédération Wallonie Bruxelles, c'est à dire la Communauté Française lançait avec l'argent des contribuables une campagne publicitaire coûteuse (80 000 euros) à type de propagande en faveur de la vaccination "tout au long de la vie" mais sans le moindre mot sur le risque d'effet secondaire grave.

Cette publicité diffusée tous azimuts à la télévision et à la radio en a révolté et écœuré plus d'un à juste titre, y compris bien entendu aussi des médecins.

C'est alors qu'Initiative Citoyenne a décidé de déposer plainte auprès du Jury d'Ethique Publicitaire et figurez-vous que le Jury d'Ethique Publicitaire nous a donné raison quant au caractère TROMPEUR de cette publicité, le jury ayant estimé que celle-ci présentait les bénéfices de façons trop absolue tout en taisant les risques ce qui est de nature à induire le consommateur en erreur et contraire aux exigences de loyauté et de véracité.

 

En dépit de cet avis, Mme Laanan a fait la sourde oreille, estimant ce Jury incompétent et plaçant ainsi les autorités au-dessus des règles qu'elles édictent.

 

Début décembre dernier, Initiative Citoyenne adressait par recommandé une lettre à la direction administrative et médicale de l'ONE au sujet de la sécurité des vaccins.

Il faut dire que sans la moindre gêne, l'Office de la Naissance et de l'Enfance avait osé affirmer dans la presse que "pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a PAS d'effets secondaires graves de vaccins."!!!!!!!!!!

Dans notre lettre extrêmement référencée, nous leur posions alors toute une série de questions logiques auxquelles ils n'ont jamais su ni voulu répondre prétextant qu'un procès était en cours contre la Fédération Wallonie-Bruxelles en la matière. Un procès dont les plaidoiries auront lieu le 8 février prochain à Bruxelles.

 

Un procès dont l'enjeu est capital non seulement en termes de santé publique mais aussi de démocratie.

Car enfin, comment peut-on encore tolérer des obligations vaccinales pour l'admission dans les crèches ou chez des gardiennes francophones?

Comment peut-on encore tolérer ça quand on sait qu'une enquête de l'INPES en France, aux résultats étrangement non publiés, démontre que 58% des médecins pédiatres et généralistes se posent des questions sur l'utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité?

 

A quel jeu de dupe joue-t-on là?

 

Peut-on encore décemment ignorer les résultats de plusieurs études indépendantes convergeant tous vers la démonstration que la santé des enfants non vaccinés est globalement bien meilleure et plus robuste que celle des enfants polyvaccinés selon les calendriers internationaux en vigueur? Peut-on faire l'économie de tels résultats et du constat que les non vaccinés souffrent nettement moins de maladies chroniques, auto-immunes, neurologiques ou de cancers que les gens survaccinés à notre époque où ces maladies ne cessent d'exploser?

 

Peut-on aussi accepter la discrimination faite par l'ONE pour les enfants francophones soumis à un minimum de 8 vaccins là où les crèches flamandes n'exigent que le seul vaccin polio? Nous a-t-on au moins fourni la preuve qu'il y avait plus d'épidémies en Flandres dues à une telle politique?

 

Pourquoi l'ONE a-t-elle un beau jour décrété toutes ces obligations alors qu'aucune épidémie dans leurs crèches n'avait auparavant fait les gros titres des journaux?

 

Peut-on encore accepter qu'on évoque la solidarité pour pousser les gens à se faire vacciner alors qu'en cas d'effet secondaire grave ou de décès, ces gens ou leurs familles ne pourront pas compter sur la moindre solidarité ou aide de la société et ne recevront bien entendu pas la moindre indemnisation.

 

Peut-on encore accepter qu'on injecte de force des produits standards à des individus immunologiquement tous différents ou à des jeunes enfants dès 2 mois alors que leur système immunitaire n'est de toute façon pas mature avant l'âge de 6-7 ans?

 

De nombreux citoyens et médecins le clament haut et fort de par le monde: on vaccine TROP, TROP Tôt et TROP A LA FOIS. Et ceux qui préconisent cela n'en assument non plus jamais les conséquences. Sans parler du vaste champ des fausses contre-indications à la vaccination repris par l'ONE au point que des enfants déjà vaccinés mais ayant précédemment mal réagi sont contraints de poursuivre la vaccination sous peine de renvoi de la crèche et ce, même en présence d'un certificat médical de contre-indication pourtant rédigé par le médecin traitant!

 

Lorsqu'on sait que l'évaluation de la sécurité des vaccins laisse vraiment à désirer, que celle-ci ne compare jamais les enfants vaccinés à des enfants non vaccinés et qu'elle se limite à seulement quelques semaines ou quelques jours, on ne peut rester indifférent au sort de milliers d'enfants qui en font les frais chaque année sans le savoir.

 

 

 

 

Lorsqu'on sait que seul 1 à 10% des effets secondaires de vaccins sont effectivement rapportés et comptabilisés et qu'une majorité de médecins ne savent même pas reconnaître un effet secondaire de vaccin, on ne peut là non plus rester indifférent.

 

Chers amis, vous l'aurez compris: il est grand temps que les choses changent.

Il n'est tout simplement pas admissible que les mêmes autorités qui sont désapprouvées pour leurs publicités trompeuses soient les mêmes qui forcent vos enfants à recevoir des vaccins au péril de leur santé future et sans en endosser par ailleurs la responsabilité.

Vous avez le droit de dire NON à cette situation car elle concerne votre santé, celle de vos enfants et votre famille toute entière.

 

Rejoignez-nous sur www.initiativecitoyenne.be

 

 

Pour Initiative Citoyenne,

 

Muriel Desclée, Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans

 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 00:24

Comme on le dit vulgairement

 « y a pas photo » entre les vaccinés et les non vaccinés 

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Il y a près de 2 ans, Claire-Anne Siegrist, qui détient la Chaire de vaccinologie à l’université de Genève — grâce au laboratoire Mérieux — et qui vient de rejoindre le comité qui conseille le gouvernement britannique en matière de vaccination, a déclaré au journal La Tribune de Genève des 20-21 décembre 2008 qui lui consacrait sa première page : « Laissez faire la nature, c’est la sélection naturelle : l’espérance de vie à 35 ans et la moitié des enfants qui meurent avant 5 ans ».

C’est ce que les laboratoires qui fabriquent les vaccins sont parvenus à faire croire à une grande partie de la population et à certains de nos gouvernants. Comme le disait si justement le Pr Alexandre Minkowski : « Il suffit en France d'affirmer un chose avec autorité pour être cru sur parole », particulièrement si la personne qui affirme est une « autorité de référence ». Mais nous pouvons constater que ce procédé n’est pas réservé à la France, ni aux États-Unis, il est répandu à travers le monde.

Dans le même article de La Tribune de Genève, cette « meilleure spécialiste au monde des vaccins », bien connue pour ses propos aussi absurdes qu’entachés d’erreurs, en a profité pour faire aussi la promotion du vaccin contre le papillomavirus en prétendant, tout aussi mensongèrement, qu’il prévient « le cancer du col », ce qui est parfaitement faux à diverses raisons, comme Nexus l’a démontré précédemment. Il est surprenant que le journal de Genève, réputé pour son sérieux, soit le porte-parole d’affirmations aussi stupides, mais dites avec « autorité ».

La meilleure réponse médiatisée à ces allégations ridicules est arrivée d’Allemagne le 26 octobre 2010, sur la chaîne de télévision Alpenparlament TV. Ce jour-là, la chaine allemande diffusait une interview d’Angelika Kögel-Schauzt, mathématicienne, responsable de l’EFI (association d’information sur les vaccins) qui citait une étude concernant plusieurs milliers d’enfants allemands de 0 à 17 ans, donc très significative.

Cette étude, appelée KIGGS, a été menée durant trois ans, de mai 2003 à mai 2006, par l’Institut Robert Koch, le plus haute instance de santé allemande qui est au service du ministère fédéral de la Santé. Elle est pratiquement inconnue en France, et le résumé de cette longue étude a été publié dans le journal Bundesgesundheitsblatt (Vol. 49, N° 10, 2006). L’Institut poursuit actuellement cette étude au cours d’une seconde étape (2009 – 2012).

Spécialisé dans les maladies infectieuses, l’Institut Robert Koch, du nom du médecin allemand qui découvert la bactérie responsable de la tuberculose, le « bacille de Koch », a analysé en détail la santé de 17 461 enfants représentant un échantillon de toute la population. Les médecins ont recueilli 1 500 données par enfant, soit au total 20 millions de données qui répondent à toute sorte de questions sur leur santé, leur milieu social et familial, leurs analyses de sang et d’urine, leur statut vaccinal et les types de vaccins qu’ils ont reçus, afin de déterminer l’état de santé des enfants allemands dans les tranches d’âge de 0 à 2, 3 à 6, 7 à 10, 11 à 13, 14 à 17 ans. Il faut signaler que dans ce pays la vaccination n’est pas obligatoire.

Ils ont ainsi constaté des différences spectaculaires, très supérieures aux attentes, entre les vaccinés et les non vaccinés. Ainsi, les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9 % contre 10,6 %). Pour le rhume des foins, on trouve 10,7 contre 2,6 %, pour l’asthme et les bronchites chroniques 18,4 contre 2,4 %, pour les neurodermites 13,2 contre 7 %, pour l’herpès 12,8 contre 0,2 % et pour les migraines 2,5 contre 1,1 %. Il en est de même pour le diabète, les problèmes thyroïdiens, les crises d’épilepsie, l’hyperactivité.

On observe également chez eux moins de scolioses que chez les autres (5,3 contre 0,5 %), moins de problèmes de langage, car le besoin d’orthophoniste est de 6,25 contre 2,11 %. Quant aux problèmes de vue, les non vaccinées portent bien moins souvent des lunettes, comme l’avait déjà remarqué le Dr Gerhard Buchwald. Ce médecin allemand, mondialement connu pour ses travaux sur les vaccins, a constaté que les vaccins endommagent les nerfs optiques. Il avait parlé d’« épidémie de lunettes » à cause du nombre croissant de vaccins administrés aux enfants.

Les travaux de l'Institut Koch ont aussi mis l’accent sur les maladies infectieuses. Les pneumonies touchent 11,07 % des enfants vaccinés alors qu’il n’y en a que 7,75 %  chez les autres et pour les otites, on passe de 11 % à 2 %.

L’incidence des maladies infectieuses pour les 7 à 17 ans, ont été étudiées pendant les 12 mois précédent le sondage. On en a déduit que le système immunitaire des non vaccinés fonctionne normalement, alors qu’après la vaccination, il devient fou ou se bloque.

 

Mettre ici le tableau ci-joint en PNG

Il est à peu près certain que les abstracts de cette étude ne seront pas traduits en Français, ni qu’une chaîne française ne reprendra les propos d’Angelika Kögel-Schauzt sur la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV qui prouvent bien, graphiques à l’appui, que plus on vaccine, plus les enfants sont malades. Peu importe ! l’industrie pharmaceutique a de plus en plus besoin de satisfaire ses actionnaires et la vaccination est une manne inépuisable, c’est pour cela qu’on invente sans cesse de nouveaux vaccins aussi dangereux qu’inutiles et avec des injections de plus en plus fréquentes. 

 

Les enquêtes menées pour comparer la santé des enfants vaccinés et non vaccinés sont plus nombreuses qu’on ne le dit mais restent, la plupart du temps dans des tiroirs ou bien circulent exclusivement dans des milieux avertis.

En 1942, Leslie Owen Bailey, grand philanthrope et fondateur de la Natural Health Society en Australie, a recueilli dans sa propriété d’Hopewood 85 enfants dont les mères, malades ou trop pauvres,  étaient incapables de s’occuper. La plupart d’entre eux étaient encore des bébés.

Surveillée par le Child Welfare Department et les nutritionistes de l’université de Sydney, la santé des enfants était remarquable. Ils vivaient et mangeaient très sainement, particulièrement des fruits et légumes du jardin, étaient végétariens, buvaient de l’eau pure, ne prenaient pas de médicaments et surtout, ils n’ont jamais été vaccinés.

La seule maladie qu’ils ont attrapée à l’époque fut la varicelle, dont ils ont guéri très rapidement, buvant seulement de l’eau et des jus de fruit.

En 1947, le Dr N.E. Goldsworthy, un médecin à la tête de l’Institut dentaire de Sydney, entreprit une longue étude sur l’état des dents de ces enfants durant plus de dix ans. Cette étude montre que les enfants de Hopewood avaient 16 fois moins de problèmes dentaires que les autres enfants du pays. Le Dr Goldsworthy déclara que cela tenait du « miracle » et dépassait même les performances des enfants de Nouvelle Guinée, réputés pour avoir les « meilleures dents du monde ».

L’ensemble de la profession médicale australienne accorda un intérêt particulier à l’état de santé de ces enfants et Sir Lorimer Dodds et le Dr D. Clements, qui dirigeait alors le secteur de la Nutrition des enfants à l’université de Sydney, surveillèrent leur santé durant 9 années. Ils déclarèrent ensuite qu’ils n’avaient jamais vu des enfants en aussi excellente santé et Zoe Benjamin, psychologue pour enfants, remarqua leur indépendance d’esprit et leur joie de vivre.

Ces enfants sont un exemple frappant de l’efficacité d’une vie naturelle sans aucun vaccin. Leur histoire est évoquée longuement dans les revues australiennes de la société Natural Health (Volumes 3, 4, 5 et 6).

Hopewood est à présent un centre de retraite reposant où l’on peut suivre des cours et des conférences sur l’aromathérapie, l’alimentation, une vie saine, mais on s’est empressé d’oublier à travers le monde les résultats remarquables obtenus grâce à la non vaccination d’enfants, nés pourtant sous de mauvais hospices.

 

 Le Dr Michel Odent a dirigé le service chirurgie et la maternité de l'hôpital de Pithiviers de 1962 à 1985, puis s’est installé à Londres, où il  milite au niveau international en faveur d'un changement des pratiques, en se basant sur l'ensemble des données scientifiques actuelles. Il a accompli un remarquable travail sur les conséquences de la vaccination contre la coqueluche.

En 1994, il a publié une étude dans laquelle il comparait l’incidence de l’asthme entre 243 enfants vaccinés contre la coqueluche et 203 qui ne l’étaient pas. Les enfants vaccinés avaient 5 fois plus de chance de souffrir de crises d’asthme et 2 fois plus d’avoir des infections de l’oreille que les non vaccinés. En 1997, une autre étude rétrospective menée sur 1934 patients nés entre 1975 et 1984 dans l’Oxfordshire en Angleterre, montre que les enfants vaccinés contre la coqueluche avaient 75 % de plus que les autres de devenir asthmatiques ou d’attraper la fièvre des foins.

Aux yeux de ce spécialiste, les programmes de vaccination ont produit des générations de mères dont l’indigence des anticorps vaccinaux ne permet plus de protéger leurs bébés de la coqueluche, ce qui explique qu’ils l’attrapent et en meurent parfois dans les premières semaines de leur existence. Lorsque ceux qui ont résisté sont devenus adultes, ils sont victimes de toux chronique, d’asthme, d’allergies et infections diverses, car ils n’ont pas été en contact avec la bactérie qui aurait contribué à construire leurs défenses naturelles.

Le vaccin anticoquelucheux a fait disparaître les symptômes de la maladie qui, aujourd’hui, n’existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes bien plus graves de cette maladie qui atteint à présent les adultes et les adolescents, ainsi que les nourrissons.

 

Une étude approfondie, consacrée à la responsabilité des vaccins sur l’incidence de l’autisme, a été entreprise aux États-Unis, par un journaliste d’investigation, Dan Olmsted, alors que le gouvernement fédéral s’acharnait à retarder les études sur leur toxicité. En recherchant des enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins — ce qui est rare dans ce pays — afin qu’ils servent de « cas contrôle » des expériences, Olmsted s’est adressé aux Amish du district de Lancaster, en Pennsylvanie, dont les convictions religieuses s’opposent à la vaccination. Chez eux, les autistes sont pratiquement inexistants.

Il s’aperçut alors que, d’après le pourcentage d’autistes sur le plan national, il aurait dû en trouver 130 chez les Amish. Or, il n’en trouva que 4. L’un d’entre eux avait été longtemps exposé à un fort taux de mercure à cause d’un générateur, les trois autres étaient vaccinés.

Lorsqu’il fit part de cette découverte au Dr. Julie Gerberding, du CDC, elle lui répondit qu’elle n’avait aucun intérêt car les Amish avaient des « dispositions génétiques qui les rendaient différents des autres populations des États-Unis ». Il est surprenant que pour justifier une position indéfendable, ce médecin ayant d’importantes responsabilités ait osé dire qu’une religion hors norme peut modifier les gènes qui deviennent alors hors norme. Les croyances auraient-elles un impact sur les gènes ?

Dan Olmsted étudia ensuite une autre communauté, non religieuse mais  qui est loin d’être une secte, le Homefirst Health Services de Chicago, qui a un point commun avec les Amish : les enfants ne sont pas vaccinés et ne sont jamais autistes. Olmsted publia son enquête en décembre 2005.

Le Homefirst Health Services est une association de médecins de Rolling Meadows dans la banlieue de Chicago, fondée en 1973. Ces médecins accouchent les femmes chez elles, puis suivent les enfants pendant leur enfance et leur adolescence. Le Dr Mayer Eisenstein, directeur médical de l’organisation, signale : « Depuis des années, nous avons suivi 30 à 35 000 enfants dès leur naissance, et nous n’avons pas rencontré un seul cas d’autisme parmi les enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins. Nos médecins ont aidé à faire naître plus de 15 000 bébés dont la plupart n’ont jamais été vaccinés. Les quelques rares cas d’autisme ont été décelés chez des enfants vaccinés avant que leurs mères ne s’adressent à nous pour leur enfant suivant. »

Ces enfants, qui fréquentent les écoles publiques de l’Illinois, ont permis de faire baisser les moyennes d’autistes de cet État à 38 pour 10 000, d’après le ministère de l’éducation, alors que, d’après le CDC, elles sont de 60 pour 10 000 dans le reste du pays.

Le Dr Eisenstein, également diplômé en statistiques, en droit et en santé publique, ajoute que ces chiffres sont significatifs et qu’il est impossible d’ignorer la différence. Les vaccinations sont obligatoires dans l’Illinois, mais l’État accepte les exemptions pour raisons religieuses. Homefirst laisse les parents libres de leur choix, mais Eisenstein critique ouvertement la politique de vaccination du CDC depuis les années 1990. Il est l’auteur du livre Don't Vaccinate Before You Educate ! (Ne vaccinez pas avant d’éduquer).

Le Dr Paul Schattauer, qui fait partie du Homefirst depuis 20 ans et traite au moins 100 enfants par semaine, confirme : « Tout ce que je sais est que dans ma pratique, je ne rencontre pas d’autistes. Nous sommes loin des un sur 166 cas officiels dans notre pays. » En 1991, on ne trouvait qu’un enfant autiste sur 2 500 dans cette région.

Le Dr Schattauer a également confirmé que les enfants traités par les médecins du Homefirst sont rarement sujets à l’asthme et au diabète juvénile, alors que le pourcentage d’asthme chez les enfants est d’environ 10 % pour le reste de la population. Commentaire du Dr Eisenstein : « J’ai d’abord cru que cette protection était due à l’allaitement maternel ; mais nous trouvons des asthmatiques chez les enfants nourris au sein alors qu’il n’y en a pas chez les enfants nourris au sein et non vaccinés. »

Au début de l’année 2005, le Dr Jeff Bradstreet, pédiatre en Floride, spécialiste de l’autisme, a confirmé qu’on ne trouve pratiquement aucun cas d’autisme chez les enfants non vaccinés pour des raisons religieuses et élevés au sein de leur famille afin d’échapper aux vaccinations scolaires, ce qui rejoint les observations du Dr Eisenstein et celles de Dan Olmsted.

Actuellement, aucun responsable des vaccinations n’accepte d’accorder le moindre crédit au fait qu’il n’existe pas d’autisme chez les Amish, ni dans les rangs de Homefirst à Chicago, ni chez les enfants scolarisés dans leur famille. Ce fait constitue une omission très significative. Et la plupart des psychanalystes interrogés sur le sujet prétendent que l'autisme pourrait être la conséquence d'une dépression maternelle, d'une mauvaise relation avec l'enfant, voire d'un refus de l'apport masculin pour la conception. Certains osent même accuser des stades de folie transitoire chez la mère, ou même des désirs incestueux. C’est évidemment plus confortable de proférer de telles âneries que de remettre en question le dogme vaccinal.

Ces études concernent particulièrement les cas d’autisme, mais la santé générale des enfants Amish ou du Homefirst de  Chicago est bien meilleure que celle des autres enfants américains.

Il est notoire qu’il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, mais, dans ce cas précis, les instances de santé sont criminelles de ne pas essayer de comprendre la raison de l’augmentation effrayante de cette maladie et, surtout, pourquoi elle ne touche pas les enfants non vaccinés.

 

Après avoir travaillé aux États-Unis au Centre des sciences respiratoires de l’université de Tucson, en Arizona,  puis à la Clinical Effectiveness de la  Harvard School of Public Health à Boston, Erika von Mutius dirige la policlinique d’allergie et asthme au centre hospitalier universitaire pour enfants de Munich. Elle fait également partie du conseil rédactionnel du New England Journal of Medicine.

Le groupe de recherche de Pr Von Mutius s’est consacré à l’étude du rôle des expositions microbiennes dans le développement des allergies et de l’asthme. En 1999, ils ont comparé l’état de santé des enfants de Berlin Est et Ouest avant la chute du mur, pensant que les enfants de Berlin Est plus pauvres, moins soignés et mal nourris seraient en plus mauvais état de santé que leurs voisins de l’Ouest. Or, ils ont alors constaté que la réalité était à l’opposé de leur hypothèse. « Les enfants des régions les plus pauvres d’Allemagne de l’Est étaient en bien meilleur état de santé que ceux des familles aisées de l’Allemagne de l’Ouest. Leur taux d’allergie était bien inférieur et ils étaient rarement victimes d’asthme. L’équipe fut forcée de remettre en question ses observations qui rejoignent celles des « hygiénistes » qui pensent que l’exposition aux microbes dès l’enfance aide à renforcer le système immunitaire et préserve ainsi la santé des adultes.

En outre, une autre étude a montré que 5 à 10 % des enfants de 4 à 6 ans ont des verrues et que dans le groupe d’âge de 16 à 18 ans, on en trouve chez 15 à 20 %. Or, chez les enfants non vaccinés cette étude n’en a trouvé que 3 %.

(http://www.netdoktor.at/health_center/dermatologie/warzen.htm)

 

Quant à la mortalité infantile, elle augmente avec le nombre de vaccins reçus, étant plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus. C’est ce que suggèrent de nombreuses études internationales, dont la plus récente a été publiée le 4 mai 2011 dans la revue Human and Experimental Toxicology par Neil Z. Miller, journaliste médical américain, et le Dr Gary Goldman, gynécologue, spécialiste de la varicelle, auteur de nombreuses publications dans JAMA « Journal of American Medical Association), et le BMJ (British Medical Journal). 

Ils ont passé en revue toute la littérature afin de comparer le nombre de doses de vaccins administrés aux États-Unis et dans 33 autres pays et leur taux respectifs de mortalité infantile. Leur étude a démontré que le taux de mortalité infantile et les doses de vaccin suivent la même courbe. Ainsi, aux États-Unis, pays qui détient le record mondial de vaccinations (26 au minimum), on compte plus de 6,22 décès pour 1 000 naissances. En France où l’on recommande 19 doses, on enregistre 3,33 décès pour 1 000 naissances. En Suède où l’on n’administre « que » 12 vaccins, on compte 2,75 décès et au Japon, où le nombre de vaccinations est identique, le nombre de décès est de 2,79 pour 1 000. (cf. Miller, N. Z., Goldman, G. S. (2011). « Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given : Is there a biochemical or synergistic toxicity ? », in Human & Experimental Toxicology.

Philip Incao, Pr de médecine à Denver, estime que la santé des enfants de son pays s’est beaucoup détériorée depuis 1960 avec la large utilisation des vaccins : « Pendant 23 ans j'ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. D'autre part, les premiers n'ont pas souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres ».

Il a bien étudié le Syndrome de la Mort subite et inexpliquée du Nourrisson (MSIN) qui contribue au nombre élevé de décès constatés chez les nouveau-nés : « Chez ces enfants de moins d'un mois qui sont morts, la plupart des décès ont été classifiées comme MSIN. Cependant, dans le passé, ce syndrome n'a jamais frappé d'enfants aussi jeunes et la MSIN est officiellement observée seulement après un mois d'âge. […] Quoique le VAERS ait été créé selon la loi fédérale pour permettre une évaluation plus précise des risques de vaccination et bien que les données brutes soient analysées, les rapports individuels de d’accident ou de décès sont rarement, s'ils le sont, examinés. »

De son côté, le Docteur Jane Orient, spécialiste de médecine interne à Tucson, Arizona et Directeur de l'Association de Médecins américains et des Chirurgiens a déclaré : « La présence de découvertes comme l'œdème cérébral chez les enfants en bas âge sains qui meurent très peu de temps après la réception du vaccin contre l'hépatite B est inquiétante, particulièrement en vue de la fréquence de symptômes neurologiques dans le VAERS. »

Dès 1986, le Pr R. Bastin nous avertissait dans Le Concours médical du Ier février : « Nous retrouvons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

En réponse à la demande d’un confrère concernant les vaccins et la mort subite du nourrisson, le Dr P. Touze osait écrire quelques années plus tard : « […] je crois qu’il faut cesser d’incriminer les vaccins dans la survenue de la mort subite inexpliquée du nourrisson. C’est mauvais pour le moral de la population vaccinée... et pour celui des vaccinateurs. » Cette lettre, publiée dans Le Concours médical du 25 mars 1995, montre bien l’état d’esprit qui règne chez certains médecins, pour lesquels il est sans doute préférable de laisser mourir quelques nourrissons plutôt que de saper le moral des vaccinateurs !

 

Au Japon, l'introduction en 1947 du vaccin anticoquelucheux avait induit un tel nombre d'accidents qu'il fallut créer un fonds spécial d'indemnisation, ce qui porta atteinte au crédit de la vaccination, laquelle fut suspendue en 1975  et qu'il fut jugé nécessaire d'introduire un nouveau vaccin, dit « amélioré », pour rassurer les parents. Un vaccin « acellulaire » est aujourd'hui administré aux enfants entre 2 et 4 ans. Néanmoins, les demandes d'indemnisation qui ont été signalées, sans compter les cas non déclarés, prouvent que le vaccin acellulaire n'est pas plus sûr que l'autre. (cf. Pediatr. Infect. Dis. J. - vol 9 - n° 10 - 1990). Cependant, en différant la vaccination contre la coqueluche après l’âge de deux ans, les japonais ont constaté une baisse très importante de la mort subite et inexpliquée du nourrisson, ce qui prouverait bien que le vaccin joue effectivement un rôle dans le syndrome (cf. J. D. Cherry « Pertussis vaccine encephalopathy » in Jama - 1990). Il est indéniable que l'acte vaccinal représente un facteur primordial de déclenchement de l’arrêt respiratoire.

Déjà, en 1970, le Dr Archie Kalokerinos du Biological Research Institute d’Australie avait réussi à inverser la mortalité infantile de la population aborigène dans le bush australien en différent les vaccinations. Avec son confrère le Dr Glen Dettmann, le Dr Kalokerinos a découvert un lien évident entre la déficience immunologique provoquée par la vaccination et le syndrome de la mort subite et inexpliquée du nourrisson.

Mais en France, pays de Pasteur, les instances de santé ignorent ou font semblant d’ignorer toutes ces parutions qui devraient ébranler le dogme vaccinal. Espérons que le travail de l’Institut Robert Koch sera mondialement médiatisé et fera enfin tomber l’omerta qui règne sur ce sujet.

 

 (On peut voir l’interview d’Angelika Kögel-Schauzt, sur plusieurs sites Internet)

 

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 22:24

Communiqué de presse.


Pour la liberté vaccinale et l'information.

Pour Stacy Sirjacobs, Nova Le Dantec, Annabelle Morin, Marco et Andréa Tremante, et tous les autres enfants morts suite à une vaccination.

Et pour tous les enfants victimes d'accidents postvaccinaux.

Le 20 janvier prochain, des manifestations citoyennes auront lieu en différents endroits du monde.

Ces manifestations ont pour thème « la liberté vaccinale et l'information. »

L'origine de ces actions se trouve en Belgique, à Couillet, dans la région de Charleroi.

Un couple a déposé plainte contre X suite au décès de leur bébé de 3 mois 1 semaine après l'administration de 3 cocktails vaccinaux (Infanrix hexa, Prevenar et Rotarix), 2 injectés et un à boire.

Une semaine après la vaccination, le 21 octobre 2011 à 15h30, Stacy Sirjacobs est admise aux urgences de l'hôpital de Gosselies avec de la fièvre.

Les premiers examens (test d'urine, prise de sang, radiographie) révèlent une légère infection dans le sang et dans les poumons.

Le pédiatre annonce aux parents que ce n'est pas grave, et que c'est peut-être une gastro.

Une diarrhée se déclare.

Vers 19h, l'enfant a du mal a respirer et a des petits boutons sur le corps.

A 23h, c'est un purpura.

Elle est intubée.

A la demande de la sécurité, les parents doivent quitter la chambre de leur enfant.

Vers minuit, l'enfant fait un arrêt cardiaque.

Les tentatives de réanimation s'arrêtent à 3h.

Selon le diagnostic du pédiatre, Stacy est décédée d'une septicémie et d'une méningite àméningocoque.

Or, le vaccin Prevenar, qui a été administré une semaine auparavant est destiné àcréer une immunité des infections à pneumocoques (otite, pneumonie, méningite...) chez les nourrissons et les enfants de moins de 5 ans.

Un lien de cause à effet serait-il à faire ?

Depuis le décès, le 22 octobre 2011, les parents demandent une autopsie qu'on leur refuse.

Alors que la loi préconise une autopsie pour tout décès d'enfant en-dessous de 18 mois.

Les parents ont lancé une pétition pour obtenir une autopsie.

Celle-ci a été signée par plus de 1900 personnes.

Avec la volonté de découvrir la vérité sur le décès de leur fille, qui laisse sa jumelle Lesly seule, les parents ont créé une page Facebook qui comporte plus de 2000 inscrits.

Ils ont également décidé de faire une marche blanche vendredi prochain, le 20 janvier, dans le quartier de la gare du Midi à Bruxelles.

D'autres actions sont attendues à Nîmes avec Sophie Guillot(011 33 4 666 496 14 ou 011 33 6 283 482 86) (France), conférence de presse du Dr Berthoud à Genêve (Suisse), Trois-Rivières, ainsi qu'à Poznan avec Justin Socha (011 48 660 857 062) (Pologne).

L'information est également relayée par des journalistes en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis (Christina England).

Partout dans le monde, il y a des accidents post-vaccinaux.

La seconde intention de ces actions citoyennes, c'est de demander une information claire et objective de la part des vaccinateurs et des autorités sanitaires locales.

Car l'information qui est transmise est formulée de manière à ne pas laisser le choix.

Les textes sont inutilement apeurant et culpabilisant.

Dès lors, comment poser une décision libre et éclairée lorsqu'une partie de l'information est occultée ?

Actuellement au Québec, il y a deux campagnes de vaccination dans les écoles : le vaccin contre leVPH (virus du papillome humain) ou vaccin contre le cancer du col de l'utérus ainsi que le vaccin contre la rougeole.

En 2008, Annabelle Morin, originaire de Laval, 14 ans, décède. La récente seconde injection du vaccin Gardasil (contre le cancer du col de l'utérus) est fortement soupçonnée d'être la cause du décès.

Une page Facebook intitulée « Attention au vaccin Gardasil-décès d'Annabelle Morin »rassemble plus de 3700 membres ainsi que des informations que ne dispensent pas les CSSS.

LindaMorin, la maman d'Annabelle, avait donné son consentement pour ce vaccin.

Tout comme elle avait fait vacciner sa fille contre d'autres maladies durant son enfance.

Cependant, Linda ne milite pas contre la vaccination en général.

Elle souhaite informer la population sur les dangers que comportele vaccin Gardasil.

Pour revenir sur le fait de recevoir une information complète, voyons ce que disent les codes de déontologies médicales.

L'article 14 du code de déontologie du Québec stipule que« Le médecin doit favoriser les mesures d'éducation et d'information dans le domaine où il exerce ».Dès lors, pourquoi le ministre et médecin Yves Bolduc ne distribue-t-il pas des pamphlets contenant une information plus objective, rendant publics les deux côtés de la médaille ?

Et pas seulement une information pro-vaccinale.

Il en va de même pour le code de déontologie médicale du Canada qui stipule, à l'article 21, que il faut : « Fournir à vos patients l'information dont ils ont besoin pour prendre des décisions éclairées au sujet de leurs soins de santé et répondre à leurs questions au meilleur de vos compétences. »

(Source : http://policybase.cma.ca/dbtw-wpd/PolicyPDF/PD04-06F.pdf)

Et que penser de l'article 89 de la section VII.I du code de déontologie médicale du Québec qui dit que « Le médecin exposant des opinions médicales par la voie de quelque média d'information doitémettre des opinions conformes aux données actuelles de la science médicale sur le sujet et, s'il s'agit d'une nouvelle méthode diagnostique, d'investigation ou de traitement insuffisammentéprouvée, mentionner les réserves appropriées qui s'imposent. »

(Source : http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=3&file=/M_9/M9R17.HTM)

Il n'est pas question ici de débattre sur l'utilité ou l'inutilité de la vaccination, pas plus que de se questionner sur les lobbies pharmaceutiques, mais bien de prendre la décision de se faire vacciner ou de faire vacciner ses enfants en toute connaissance de cause.

Pourquoi dans les pamphlets vantant les vaccinations ne peut-on y lire les ingrédients des vaccins?

Car ils contiennent des adjuvants : formaldéhyde, hydroxyde d'aluminium ou mercure ?

Pourquoi n'y trouve-t-on pas l'information expliquant comment sont fabriqués les vaccins ?

Si l'on prend le vaccin trivalent (rougeole-oreillons-rubéole) qui semble être celui choisi par le ministère de la santé pour être administré dans les écoles, il faut savoir ce que contient la solution injectable de ce vaccin trivalent.

Pour sa fabrication, sachez que les virus de la rougeole et des oreillons sont multipliés sur des cellules d'embryon de poulet, tandis que le virus de la rubéole est multiplié sur des cellules diploïdes humaines WI38.

Entendez par ce terme scientifique « cellules de foetus humains avortés ».

On y retrouve également de la néomycine (une variété d'antibiotique) ainsi que de l'albumine humaine produite par un OGM.

Quant au lien entre la vaccination rougeole-oreillons-rubéole et autisme, hormis la controverse entourant les résultats des recherches du Docteur Wakefield, il reste de nombreuses autres études démontrant un lien entre la vaccination et l'augmentation des cas d'autisme.

Quant aux adjuvants tel le mercure (thimerosal), il serait responsable de l'augmentation de cas d'autisme aux Etats-Unis.

Selon l'étude de Robert Kennedy Jr (dont le livre « Deadly immunity »paru aux éditions Rolling Stone en 2005), on est passé de 1/2500 cas d'autisme en 1988 à 1/166 cas dans les années 2000.

Cependant, une étude du Docteur Eric Fombonne, de Montréal, et dantant de 2003, montrerait qu'il n'y a pas de lien à faire entre la vaccination ROR et l'autisme.

Pour en revenir au problème du mercure dans les vaccins, et toujours selon cet auteur, la quantité injectée dans le corps d'un enfant vacciné selon les recommandations serait 400 fois la quantité de mercure recommandée par la FDA (food and drug administration)

Tout récemment, le 12 janvier dernier, Gavin Allen publiait un article dans le Daily Mail (Grande-Bretagne) où l'on pouvait apprendre que « des scientifiques falsifient leurs données pour que leurs recherches soient publiées tandis que les lanceurs d'alerte sont intimidés pour leur faire garder le silence.

» Le journal relaie donc le sondage commandé par le British medical journal (BMJ) dont la rédactrice en chef, le docteur Fiona Godlee, a donné le commentaire suivant : « Bien que notre sondage ne puisse pas fournir une estimation exacte du nombre de chercheurs qui ont triché dans leurs recherches au Royaume-Uni, il montre cependant qu'il y a un nombre substantiel de cas et que les institutions britanniques ne parviennent pas à enquêter de façon adéquate voire pas du tout. »

Rappelons que le Docteur Wakefield, qui avait été accusé de fraude par le BMJ, a aussi déposé plainte pour diffamation à l'encontre de Fiona Godlee.

Ajoutons que le BMJ a conclu, en 2008, un partenariat avec le laboratoire pharmaceutique Merck (dont le nom commercial est MSD pour Merck Sharp & Dome, filiale collaborant avec Sanofi Pasteur dans l'élaboration et la commercialisation de vaccins).

Il s'agit d'un accord qui donne ainsi àla firme pharmaceutique le contrôle sur pas moins de 350 cours interactifs de formation continue(éducation permanente) dans une vingtaine de domaines thérapeutiques différents.

De plus, en 2008, Univadis, une marque du groupe Merck a entamé un partenariat avec Le Lancet"en vue de fournir une éducation médicale et des sites internet d'information."Tout ceci pose donc également la question de savoir dans quelle mesure des scientifiques intègrespeuvent être opportunément accusés de fraude lorsque leurs résultats mettent en danger les profits des pharmas là où des fraudes avérées et compatibles avec le marketing pharmaceutique sont traitées avec complaisance et jamais investiguées.

http://sos-crise.over-blog.com/article-de-nombreux-medecins-et-scientifiques-falsifient-leursdonnees-pour-etre-publiees-97121519.html

De nombreuses associations existent.

Elles informent sur la vaccination.

On trouve, par exemple www.info-vaccination.be ;

www.initiativecitoyenne.be ;

www.infovaccin.fr

www.sylviesimonrevelations.com ;

www.truthaboutgardasil.org ;

www.sceptiques.qc.ca ;

www.vran.org,

Pourquoi ne tient-on pas compte de ce que l'on attribue à Hippocrate, le père de la médecine quand il disait : « d'abord ne pas nuire (primum non nocere) ». Comment peut-on jurer de l’innocuité d'une substance lorsque tant d'études scientifiques démontrent le contraire.

Et lorsque tant de situations dramatiques de maladies et décès surviennent après la vaccination.

Voici quelques citations de médecins.

Ceux-ci n'ont nullement été inquiété par la justice quant à la nature de leurs propos.

La doctoresse suisse Françoise Berthoud : « Il n'existe aucune preuve scientifique démontrant que les vaccins soient utiles, efficaces et sans danger.

»Le médecin belge Jean-Michel Dubernard, député, chirurgien et docteur honoris causa de l'université de Liège : « Il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins.

»Le médecin Jacques Lacaze : « Il est évident que l'engouement pour l'aventure vaccinale est très largement mercantile, car les vaccins sont à l'origine de profits fabuleux.

Cela tient sans doute au formidable crédit de son idée de base : la maladie vient de l'extérieur.

»Pour quelle raison existe-t-il un fonds d'indemnisation des victimes d'accidents post-vaccinaux auQuébec ?http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/santepub/vaccination/index.php?indemnisationCe programme d'indemnisation trouve son origine dans la réclamation d'une mère pour sa fille atteinte d'encéphalite après avoir été vaccinée contre la rougeole en 1970.

Avant de faire vacciner vos enfants, assurez-vous, au cas où vous auriez à recourir au fonds d'indemnisation, qu'il y ai bien « une contrainte morale exercée sur la population pour l'inciter à se faire vacciner.

Car dans ce cas, cela équivaut à une vaccination obligatoire.

Et que les dommages encourus par une seule personne pour le bien de la collectivité soient encourus par la collectivité.

»Choisissez donc de vacciner ou de ne pas vacciner, mais en étant correctement informés.

Le point chaud de ces manifestations : Bruxelles, gare du Midi, de 11h30 à 14h.

»Raphaël Sirjacobs et Béatrice Dupont

Téléphone fixe : 011 32 71 43 81 77

Cellulaire : 011 32 492 98 39 02

Cellulaire : 011 498 61 00 88

Diffusion probable sur les chaînes de télévision belges.RTL : http://www.rtl.be/rtltvi/categorie/le-journal/2616.aspxRTBF : http://www.rtbf.be/info/Je vous remercie pour votre lecture.

Monique Meunier Je serai présente vendredi après-midi dans les rues de Trois-Rivières pour distribuer de l'information aux passants et pour manifester publiquement ma solidarité avec les familles des victimes de la vaccination. Mon mari et nos trois enfants m'accompagneront.

131 rue de la Fonderie G8T 9N1 Trois-Rivières819 909 42 46

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 22:12

L’Hygiène Naturelle

 Colette Welter 494530214

Les Lois de la Nature valent pour tous,

riche ou pauvre, vieux ou jeune, homme ou animal.

 

Il est impossible de contourner les Lois de la Nature.

 

L’Hygiène Naturelle (Natural Hygiene) n’est ni la naturopathie ni l’homéopathie et n’a surtout rien à voir avec la seule « hygiène » au sens de « propreté du corps ».

 

DEFINITION

 

Le mot hygiène vient du grec hygieía (plus tard hygiená), ce qui veut dire « santé » ou « bonne vie » : C’est un style de vie qui préserve la santé physique, mentale et spirituelle. C’est aussi une façon de guérir, si la santé est altérée. Les Lois de la Nature sont tout aussi effectives chez l’individu qui les connaît et les respecte que chez celui qui essaie de les ignorer. Dans le dernier cas, les conséquences en sont, tôt ou tard : malaises et maladie.  

 

L’ENERGIE NERVEUSE

 

Il existe des « voleurs d’énergie nerveuse », à savoir : manque de sommeil et de repos, mauvaise alimentation, manque de lumière et de soleil, températures extrêmes, manque de mouvement, déséquilibre émotionnel, un manque de buts dans la vie, sans oublier des relations dites toxiques. « Si tu veux plus d’énergie nerveuse, cesse de la gaspiller ! » dit Ralph Cinque, D.C.

 

Chaque acte que nous accomplissons provoque ou bien un accroissement ou bien une diminution de cette énergie. Toute excitation diminue, tout repos augmente l’énergie nerveuse. Une alimentation correcte augmente, une mauvaise diète la diminue. L’énervation peut continuer jusqu’à ce que la maladie aiguë ou même chronique s’installe. Dans la maladie aiguë, le corps réclame le repos d’une façon urgente et absolue : Nous attrapons une grippe - ou n’importe quelle autre fièvre. Tellement fatigués que la seule chose qui nous reste est de nous coucher au lit, jeûner, boire de l’eau, transpirer et… attendre. Mais si nous essayons de transgresser cette Loi (en restant debout, travaillant, prenant des médicaments contre la douleur, la fièvre, la fatigue, la conséquence est connue : une convalescence interminable s’en suit ou même, la maladie devient chronique. Le jeu en vaut-il la chandelle ? Non, la Nature exige le repos le plus absolu : repos physique au lit, repos du système digestif par le jeûne, repos du système nerveux par l’absence de travail et d’émotions et surtout : aucun médicament, car tous entravent la guérison.

 

Il existe une sorte d’échelle pour illustrer la « descente vers la maladie » où, à la fin, plus rien n’est réversible : En haut de l’escalier qui explique ce concept d’une façon simple, nous avons la Santé. Si notre style de vie n’est pas correct, nous provoquons l’énervement, puis la toxémie, l’irritation, l’inflammation, l’ulcération, l’induration ou la cancérisation, et pour finir, nous arrivons en bas de l’échelle, la dégénérescence irréversible.

 

La « vis medicatrix naturae » (force médicatrice de la nature) agit toujours en direction de la guérison, pourvu qu'on la laisse faire… Vers la fin de la vie, comme une bougie, elle s’affaiblit, puis s’éteint. Mais tant qu’on lui permet d’agir, elle le fait toujours, sans exception.

 

La principale différence entre la médecine officielle et l’Hygiène naturelle est que la première traite les symptômes alors que la seconde cherche les causes d’une maladie et les élimine.

 

L’ALIMENTATION

 

Sachant que l’être humain a été créé crudivore, le plus simple serait de retourner à une alimentation comme à l’époque de nos plus anciens ancêtres. De nos jours, cela semble difficile, mais il est toujours possible de s’en approcher autant que possible. Les hygiénistes prônent une alimentation majoritairement crue et végétale, prise selon quelques règles de combinaisons alimentaires - c'est-à-dire que certains groupes d’aliments peuvent être combinés avantageusement dans un repas, d’autres groupes moins.

 

LA TOXEMIE

 

Il y a une toxémie d’origine interne : les déchets du métabolisme, déchets de l’activité cellulaire, les cellules mortes, tout cela augmenté par les stress émotionnels et physiques, par tout ce qui diminue l’énergie nerveuse…

 

La toxémie d’origine externe résulte d’une alimentation non naturelle : aliments cuits, raffinés, contenant des substances chimiques, les médicaments (sans oublier les vaccinations), l’alcool, le tabac (et autres poisons overtoniens – substances solubles aussi bien dans l’eau que dans les lipides), tous les polluants de l’air, de l’eau et de partout…

 

D’après le Dr John Tilden la toxémie est la cause unique de toute maladie. Cette notion est acceptée par tous les « hygiénistes » qui lui ont succédé.

 

« Health is the result of healthy living only » (La santé ne peut être que le résultat d’une vie saine), disait le Dr Herbert M., Shelton (1895-1985) et T.C. Fry (1926-1996) de renforcer en disant : « You can’t poison yourself into health » (On ne peut pas s’empoisonner vers la santé). Et pourtant, combien essayent de faire justement cela en mangeant mal, en se faisant vacciner et en prenant des médicaments…?

 

LE JEUNE

 

« Le jeûne, moyen de purification totale », tel est le titre d’un petit livre de Marie-Reine Geffroy, des années 1960 et, pour le célèbre Docteur Otto Buchinger, Allemagne « Le jeûne est la voie royale de l’art de guérir ». Le jeûne est, si on veut, une « opération sans couteau ».

 

Le jeûne fait partie des « techniques » de l’hygiène naturelle, que ce soit pour prévenir une maladie, comparable au « nettoyage de printemps dans une maison », ou alors pour guérir aussi bien une maladie aiguë qu’une maladie chronique.

 

Le jeûne n’a rien à voir avec la famine. Cette dernière peut être mortelle, car l’individu mange… mais très peu et il lui manque parfois beaucoup d’éléments importants ; ainsi son état se dégrade jusqu’à l’inanition. Le jeûne, par contre, est la privation volontaire de toute nourriture pour un temps déterminé – il peut être arrêté dès que des problèmes, qui ne pourront être résolus que quand l’individu remange, se présentent.

 

L’INDEPENDANCE

 

L’être humain peut, en principe, se suffire à lui-même. Il est vrai que nous vivons dans un système de vie moderne avec un nombre impressionnant d’appareils qui nous facilitent la vie – réfrigérateur, automobile, ordinateur, pour n’en nommer que quelques uns. Quant à la médecine, à elle seule, utilise aussi un grand nombre d’appareils de mesure, de diagnostic et de traitement.

 

Une personne vivant (depuis avant la naissance p. ex.) selon les règles de la Nature n’aura jamais besoin des derniers quitte à profiter du progrès qui nous rend la vie moins dure. Un accouchement peut se pratiquer seule… il suffit d’être sûre de soi et en bonne santé. Toute future maman ne l’est pas, mais elle peut sans dommage se faire aider par une sage-femme et même aller en clinique pour accoucher, quitte à refuser toute intervention (qui pour la plupart sont inutiles ou même nuisibles). Aucun bébé n’a besoin du moindre biberon. Une maman qui suit les « Lois », sait bien que c’est à l’enfant de choisir le moment du sevrage (sevrage physiologique, voulu par l’enfant).

 

Que ferait un bébé dans un cabinet de pédiatre ? S’il est en bonne santé, il n’y a pas de raison… et s’il ne l’est pas, sa maman s’en rendra compte. Donc, la grande majorité des bébés hygiénistes ne verront jamais de pédiatre (dans certains pays, il y a des contraintes, le fait de vouloir toucher des allocations familiales oblige aux visites pédiatriques régulières – si c’est compréhensible, ce n’est pas une loi favorable à la santé et à la liberté. En plus, la maman doit à chaque fois répéter qu’elle ne veut pas de vaccination pour son petit, malgré les invitations pressantes du médecin).

 

VACCINER constitue un acte qu’on pourrait taxer comme étant « le plus antibiologique qui soit ». J’aime l’image de la poire à démolition. Selon la violence avec laquelle cette poire heurte un mur… le mur reste intact, il présente des failles, ou alors, il tombe en ruines. Une vaccination est, en tout premier lieu, l’injection d’un nombre assez impressionnant de poisons violents (Thiomersal, sels d’aluminium, antibiotiques, formaldéhyde, protéines étrangères diverses qui proviennent des milieux de culture sur cellules animales ou même cellules cancéreuses humaines, virus inconnus…). Comment veut-on, par ces injections, protéger quelqu’un contre une maladie ? La théorie officielle est élégante, mais fausse et – faut-il le répéter ? - va absolument à l’encontre de la vraie santé, d’une santé à toute épreuve. L’aluminium ouvre la barrière sang-cerveau et tous ces poisons peuvent y faire leur entrée joyeuse et s’amuser à détruire les cellules nerveuses. Même si tel vacciné ne semble pas présenter des symptômes, comment imaginer une seconde que l’organisme supporte cette attaque sans effet notable et durable ? Dans le meilleur des cas, « le mur » résiste, mais il tremble un certain temps – et au coup suivant, surtout s’il est trop rapproché, il se pourrait qu’il ne résiste plus.       

 

En hygiène naturelle il n’y a pas de place ni pour les vaccinations, ni pour le biberon.

 

DE NOS JOURS

 

L’hygiène naturelle devrait et pourrait suffire à garder tout le monde en bonne santé. Seulement, de nos jours, plusieurs facteurs de maladie se sont ajoutés, et rares sont les chanceux qui sont capables de les éviter complètement : les aliments n’ont plus la qualité d’antan. Les vaccinations jouent le rôle de « poire à démolition » ; elles peuvent à tel point « brouiller les cartes » que l’application de thérapies en principe non dangereuses, comme l’homéopathie et de nombreuses techniques de la naturopathie peuvent être utiles, parfois même jouer un rôle capital dans la guérison. D’autres facteurs de maladie connus (et sûrement inconnus) existent, surtout les ondes électro-magnétiques, la radioactivité et les autres sources d’intoxication par les métaux lourds, les pesticides et autres. Tout cela est scandaleux, mais soyons heureux de connaître les techniques de la naturopathie et l’homéopathie.

 

Colette M. Welter, PhD (NH), février 2009

colette.welter@gmx.net

 

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 20:51

Un mythe qui s’écroule : LA VACCINATION


                                                           Colette Welter 494530214

 

 

 

 

 

Sur chaque paquet de cigarettes, lors de chaque publicité pour produits pour fumeurs, il est dit et redit : « Fumer nuit à votre santé ». C’est prescrit par la loi. De même pour chaque réclame pour médicaments. Les vaccins font partie des médicaments pour lesquels une prescription est obligatoire et ils devraient donc, par conséquent, être pourvus de ce même avertissement. Pourtant… Cette phrase importante n’a jamais encore été vue ou entendue sur posters, brochures, lors de spots publicitaires à la radio ou à la télévision, dans aucune vitrine de pharmacie. On considère donc que les vaccins font exception à la règle, que tout le monde peut les administrer en toute liberté et impunité. Même si la loi ne l’exige pas d’une façon explicite, il est pourtant vrai que les gens ont le droit de savoir que les vaccinations peuvent nuire sérieusement.

 

Quelques unes des contre-indications de vacciner :

 

-          Eczémas de toutes sortes. Il suffit de savoir qu’il y a une prédisposition familiale aux maladies de la peau, aux allergies, rhume des foins ou asthme.

-          Infections aiguës (rhume, fièvre, diarrhée, vomissements).

-          Les prématurés et comme les bébés retardés dans leur développement, comme ceux dont le système immunitaire est affaibli d’une façon aiguë ou chronique, sont exclus.

-          Les enfants dont un ou les deux parents présentent des symptômes neurologiques, ou si eux-mêmes en souffrent.

-          Eviter toujours les vaccins combinés du genre « Hexavac », DiTePer » ou « ROR »

 

Plus tôt une vaccination est donnée, plus il est fréquent qu’un dommage apparaisse, puisque le cerveau et les nerfs ne sont pas pleinement développés, c.-à-d. protégés par une gaine de myéline contre toute attaque. Une « barrière hémato-encéphalique » n’existe pas encore et, si on décide de vacciner, il faudrait attendre au moins jusqu’à l’âge de trois ans.

 

Qu’est-ce qu’un dommage vaccinal ?

 

On dit qu’un dommage vaccinal existe si les effets secondaires dépassent en gravité les réactions dites « normales » après vaccination. Ce sont, en général, des dommages irrémédiables, qui subsistent la vie entière.

 

Peu de maladies ont une chance d’être reconnues comme dues à une vaccination. Eczéma chronique, problèmes digestifs, infections à candida, caries dentaires, troubles de la vue et de l’ouïe, problèmes de concentration, hyperactivité, problèmes neurologiques, angoisses, phobies,  de menstruation, d’élocution ; autisme, spasmes et bien d’autres.

 

Un  dommage dû à une vaccination est d’habitude incomparablement plus grave que n’importe quel dommage dû à un médicament ou à un poison ingéré.

 

Le médecin est tenu d’avertir le patient (ou ses parents) que toute intervention comporte des risques. Avant vaccination, cela n’est fait que rarement. En cas de dommage, le médecin peut être accusé par les parents, s’il n’a pas exécuté ce qui est son devoir, qui est d’informer les parents sur tous les risques. La médecine officielle est incapable de traiter ou de guérir un dommage vaccinal qui est donc irréversible. Il est irresponsable de le risquer.

 

Médicalement parlant il n’y a rien, aucun examen de sang, aucune radiographie, aucun signe caractéristique par lesquels on pourrait établir clairement si oui ou non un symptôme est dû à une vaccination.

 

Le devoir d’informer devrait enfin être mis en pratique. Donc, un maximum de précautions pourra être pris, ainsi que les contre-indications respectées et les risques connus.

 

Dans le but de garantir tout cela, les deux parents devraient être invités à signer une autorisation de vacciner (ce qui est déjà pratiqué dans certains pays). En même temps, ceci servirait à protéger le vacciné, et le médecin aurait la garantie de ne pas être poursuivi personnellement.

 

Toute complication doit obligatoirement être signalée. L’expérience montre malheureusement que cela se produit tout juste dans une minorité des cas, au maximum 1%.

 

Pourquoi les vaccins sont-ils si dangereux ? Que contiennent-ils ?

 

Les fabricants de vaccins tentent de mater les microbes virulents ou mortels. Selon la théorie de la vaccination, il faut que le sérum vaccinal contienne assez de microbes (virus, bactéries), pour d’activer le système immunitaire, mais pas trop, afin d’éviter que la maladie contre laquelle on veut protéger ne se déclare. Il est extrêmement difficile d’affaiblir les microbes de façon à ce que leur toxicité ou leur virulence soient assez affaiblies pour ne pas provoquer la maladie tout en protégeant contre elle…

 

Afin de diminuer les réactions et de rendre les effets désirés durables, on y ajoute diverses substances : antibiotiques, stabilisateurs, neutralisateurs, conservateurs, vecteurs et, pour agrémenter la sauce : du formaldéhyde, du mercure sous forme de Thiomersal®, des sels d’aluminium et bien d’autres toxiques. Ces substances causent des allergies, des cancers et peuvent provoquer une diminution abrupte de la pression sanguine, des problèmes respiratoires, des maladies de l’estomac ou de l’intestin… liste absolument incomplète. Tout cela est injecté, directement dans la circulation sanguine en contournant toutes les défenses du système immunitaire. La nature n’a pas prévu de protection contre ces agressions.

 

Si on additionne, par exemple, la teneur en mercure de tous les vaccins qu’un enfant reçoit habituellement jusqu’à l’âge de 12 ans, elle est de loin plus élevée que la teneur maximale acceptable dans le corps d’un adulte, pendant cette même durée de temps. Il n’y a pas de dose sans risque !

 

Dans les vaccins classiques se trouvent de petites quantités de substances animales venant des tissus utilisés. Pour le vaccin antipolio, on utilise du rein de singe ; des oeufs de poule pour celui contre la grippe. Ceci est problématique, car les protéines animales ne sont pas identiques aux protéines humaines et peuvent provoquer de fortes réactions dans l’organisme humain, jusqu’au choc anaphylactique. Dans quelques cas, ils sont même cultivés sur des cellules cancéreuses humaines. Certains vaccins modernes sont produits par génie génétique (hépatite B, HPV) ce qui comporte de nouveaux risques sérieux.

Chaque être humain réagit de façon toute personnelle à ces substances étrangères. L’état de son système immunitaire est décisif quant aux réactions possibles.

 

Ce qu’il vous faudra observer soigneusement après une vaccination ! Réactions possibles encore huit semaines après :

 

Chez le nourrisson :

 

-          Cris inconsolables, sans raison apparente.

-          Cris stridents (« cri encéphalique »), parfois accompagnés de spasmes.

-          Convulsions qui ne se laissent pas contrôler par des médicaments.

-          Insomnie.

-          Les enfants qui dorment beaucoup et sont très calmes après une vaccination sont susceptibles de décéder de « mort subite du nourrisson » (MSN)

-          Apparition d’un retard psychomoteur – l’enfant « oublie » ce qu’il a déjà acquis, re-suce son pouce, ne parle plus, ne marche plus…

-          Réactions allergiques : eczéma, érythème, neurodermite.

-          Asthme, bronchite allergique.

-          Susceptibilité aux maladies infectieuses.

-          Apathie, manque d’intérêt, comportement autistique.

-          Strabisme.

 

Chez l’enfant plus âgé :

 

-          Il recommence à se comporter comme un bébé.

-          Il redevient dépendant après une phase d’indépendance.

-          Troubles de la concentration, dyslexie, dysgraphie, dyscalculie.

-          Irritabilité, ne peut plus se tenir tranquille.

-          A peur de sortir, d’aller voir des amis, peur de tout ce qui est nouveau, claustrophobie.

-          Troubles de la vue, de l’ouïe.

-          Carie dentaire, parodontite avec gonflement des gencives, cassures de dents.

-          Comportement jaloux.

-          Amaigrissement, perte progressive de la musculature.

-          Pâleur, faiblesse, comme dans le cas de la leucémie.

-          Susceptibilité aux infections.

-          Douleurs pendant les règles.

-          Diarrhée chronique, mycoses.

-          Comportement agressif.

-          Rhume des foins.

-          Diabète juvénile insulinodépendant.

-          Comportement addictif.

 

Beaucoup de maladies contre lesquelles on vaccine de nos jours ont (presque) disparu d’Europe (polio, diphtérie) et ne représentent plus de risque. D’autres maladies contre lesquelles on vaccine également sont facilement guérissables (tétanos, polio, diphtérie, hépatites). Les maladies infantiles (rougeole, rubéole, oreillons, varicelle, coqueluche, scarlatine) sont même très importantes pour le développement d’un système immunitaire bien actif – sous condition de ne jamais baisser la fièvre (ce qui est une des plus graves erreurs que commettent presque tous les pédiatres) ! La fièvre, même au dessus de 40°C, est notre plus puissante alliée dans la guérison.

Il est de même très important de savoir que les vaccinations ne sont que rarement efficaces. Il arrive souvent que la vaccination ne provoque pas la formation d’anticorps. De nos jours, on sait que les anticorps ne sont pas une preuve d’immunité, souvent le contraire (SIDA, tuberculose), tout au plus font-ils partie d’un processus d’immunisation, mais à eux seuls, ils sont insuffisants. Quand aux effets secondaires des vaccinations, ils ne manquent pas de se produire, et ils sont extrêmement fréquents.

 

Toute vaccination fait chavirer le système Th1 (cell mediated immunity) vers le Th2 (humoral immunity).

 

Toute vaccination utilise toute réserve de vitamine C, ce qui peut avoir des suites très graves.

 

Nous voyons combien la question des vaccinations en appelle à notre sens de la responsabilité. Il est important de faire un choix individuel. En tout cas, les campagnes agressives, incitant la population à se faire vacciner en troupeau, doivent être condamnées avec force. Cette propagande produit la peur de la maladie. Et c’est cette peur qui est néfaste. La maladie aiguë elle-même est tout à fait guérissable, alors que les suites des vaccinations ne le sont que rarement.

 

 

 

Il n’est pas de notre propos de condamner en bloc les vaccinations, mais de reconnaître que des problèmes graves peuvent apparaître dans le contexte des vaccinations.

Georgos Vithoulkas, Prix Nobel alternatif 

 

 

 

Quelques additifs trouvés dans les vaccins :

 

Betapropiolactone : cancérigène, inactive certains virus.

Aldéhyde formique (formaldéhyde, formol) : allergisant, provoque asthme, bronchite, cancer.

Timerfonate de sodium : agent conservateur.

Thiomersal (aussi Thimerosal) : composé de mercure.

Sulfate de protamine : stoppe les saignements, cause baisse de TA, problèmes respiratoires.

Gentamycine, Néomycine (antibiotiques) : causent : problèmes des reins, de l’ouie, de l’équilibre, allergies, problèmes digestifs, dépriment le système immunitaire.

Albumine humaine : stabilisant, peut causer des allergies.

Protéines de poulet et d’autres animaux : allergènes.

Gélatine hydrolysée : allergène.

Hydroxyde d’aluminium : allergène, ouvre la barrière hémato-encéphalique, toxique pour le cerveau.

Phosphate d’aluminium : idem que l’hydroxyde, suspecté de provoquer la maladie d’Alzheimer.

Sources : http://aegis.lu/fr/allgemeine-infos/impuls-hefte/

 

Contacts en Europe :

www.efvv.eu

 

Contact au Luxembourg :

www.AEGIS.lu 

 

Colette M. Welter, PhD (NH)

7 Rue des Maximins

L – 8247 Mamer

Ph/Fax: (00352) 2739 7681

colette.welter@gmx.net  

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 19:13
L'expulsion le jour de la rentrée de deux enfants des écoles maternelle et primaire d'Allevard

Le problème ? deux frère et sœur âgés de 4 et 6 ans, qui faute de vaccinations obligatoires, se voient interdire depuis le 5 septembre, l'accès à leurs classes par l'inspection académique. La municipalité refuse par ailleurs qu'ils participent aux activités du centre de loisirs. Les parents des deux enfants ne sont pas contre la vaccination obligatoire DTP (diphtérie, tétanos, poliomyélite), encore faudrait-il pouvoir trouver ce vaccin sur le marché français. Depuis plus de trois ans, il n'y a plus de vaccin DTP ayant une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour la primo-vaccination (les 4 premières injections obligatoires).


mardi 27 février 2012

Communiqué de l'UNACS

Souvenez-vous, "PAS DE VACCINS, PAS D'ÉCOLE !" titrait la presse il y a quelques mois ; comme cela n'est pas suffisant, l'administration en rajoute une couche à cette famille d'Allevard en Isère en les dénonçant comme mauvais parents auprès des services sociaux qui ont saisi le juge des enfants.

C'est donc ce 22 mars que la famille Guéret va devoir s'expliquer devant le juge des enfants de Grenoble alors que le vaccin DTP seul n'existe plus depuis 2008, et en fonction de leurs explications, le juge peut décider un placement éducatif des enfants. Cette fois-ci la presse pourra alors titrer "PAS DE VACCINS, PAS DE PARENTS !"

Un député de l'Isère affirme avoir écrit au ministre de l’Éducation Nationale pour avoir son avis sur cette affaire, mais pas de réponse.

C'est pour avoir demandé une garantie sanitaire, sur un acte médical appelé vaccination, que ces parents se retrouvent traités de la sorte. L'UNACS, la LNPLV, ALIS et SANTE SOLIDARITE NANTES ont décidé de leur venir en aide. Les parents vont devoir faire face au frais de justice ; alors si vous pensez que leur cause est juste, aidez-les en envoyant vos dons à l'UNACS, 44 rue des hauts pavés, 44000 Nantes.

UNACS - Union Nationale des Associations Citoyennes de Santé

Contact : Jacques Bessin 06 80 12 71 02
http://www.infosantepaysdauge.fr

Heureusement que nous sommes dans le pays des droits de l'Homme...

MERCI DE DIFFUSER LARGEMENT


 

DEPUIS 179 JOURS
2 ENFANTS VOUDRAIENT ETRE EN CLASSE

Le maire d'Allevard-les-bains (Isère), Philippe Langénieux-Villard, et l'inspectrice d'académie de Grenoble, Monique Lesko, s'opposent à leur entrée en classe dénonçant une "situation irrégulière" au regard des vaccinations obligatoires.
Les enfants sont directement visés alors que leur place est à l'école pendant que les adultes règlent l'affaire.
De plus, la municipalité leur ferme les portes du centre aéré depuis le mois de septembre, sans aucun préavis. Tandis que l'accueil d'un des enfants à école municipale des arts a été limité jusqu'aux vacances de Noël et soumis à la présentation d'un certificat médical (aucun certificat n'est demandé aux autres enfants de l'école des arts). 

 

Nous, parents, avons le devoir de défendre les intérêts et la santé de nos enfants (Art. 371-1 du code civil).
Nous ne cèderons ni au chantage ni aux pressions.
Nous n'abandonnerons pas !

sources : http://apartheid-ecole-allevard.dyndns.info/details


Les parents d'Allevard donnent cours à leurs enfants dans la rue et manifestent leur colère.

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Si vous voulez soutenir Stéphanie, Remi, et leurs enfants rendez vous sur leurs pages 

http://apartheid-ecole-allevard.dyndns.info/actu

https://www.facebook.com/profile.php?id=100002918972504


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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 00:29

A la recherche des multiples causes de la

Mort subite du nourrisson

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Colette Welter - Présidente de l'AEGIS Luxembourg ASBL

 

La mort subite et inexpliquée d’un nourrisson n’inclut pas les accidents, c'est-à-dire l’étouffement, l’étranglement, la maltraitance, les intoxications, carotide « coincée ». Un « cas limite » est la mort par intoxication à la stibine émanant de matelas imprégnés.

 

Une vraie définition serait : un enfant, apparemment en bonne santé, meurt sans cause reconnaissable. Une autopsie peut aider à en trouver la ou les causes (ou parfois pas les causes elles-mêmes, mais les conséquences de causes).

 

CONSEILS OFFICIELS

 

Faites dormir le bébé sur le dos ou le côté.

Ne fumez pas en sa présence !

Allaitez… si vous le pouvez.

Ne l’habillez pas trop chaudement

Evitez le risque d’étranglement, d’étouffement (dans son vomi).

 

ALLAITEMENT MATERNEL (Dr Hans-Georg Müller, D, Dr Robert C. Reisinger, USA, Dr M.M. Vennemann, D)

 

Dans les années 1970, le Dr Müller de Heidelberg constate que les enfants allaités au sein sont assez bien protégés contre la mort subite : 20 fois plus de cas chez les enfants au biberon.

 

L’approche du Dr Reisinger, vétérinaire : même des veaux sont morts subitement – il constate que ce sont ceux qui n’ont pas reçu le précieux colostrum de leur mère, qui n’avaient donc pas la chance de produire une flore intestinale normale. L’analyse de cette flore l’informe que les bactéries de leurs intestins sont pathologiques avec une majorité constituée d’E. coli, alors que les veaux allaités ont une flore à bifidus. Ces colibacilles contiennent, dans leur membrane, une toxine extrêmement dangereuse, l’endotoxine, qui peut tuer, le mécanisme final étant l’arrêt cardiaque. Son mérite c’est d’avoir transposé ces constatations sur les bébés humains et d’avoir vu que certains vaccins non seulement contiennent de l’endotoxine, mais causent une décompensation du système complet… Un bébé « plein d’endotoxine » peut survivre tant bien que mal et avoir même l’air en bonne santé. Survient une vaccination…. Et le tout chavire.   

 

Un tout récent article de M.M. Vennemann dit que l’allaitement protège à 50%, ce qui est sensiblement moins impressionnant que ne le disait encore Müller 30 ans plus tôt. Se pourrait-il que le nombre de vaccinations que l’enfant reçoit dans le courant de sa première année y soit pour quelque chose ? Logique que l’allaitement maternel  protège contre la mort subite puisqu’il protège en général contre les effets secondaires des vaccinations…

 

« Allaitez, si vous le pouvez », ce conseil est néfaste, car il suggère qu’il est fréquent qu’une maman n’arrive pas à allaiter. Les vrais cas sont extrêmement rares – syndrome de Sheehan, problèmes psychologiques graves ou carrément l’ablation des deux seins. Ce conseil suggère également que c’est à la maman de décider si elle veut allaiter son petit et que, si elle n’en a pas envie, elle n’a qu’à donner l’ersatz « qui serait tout aussi bon ». C’est est faux, car le bébé a un droit absolu à être allaité, par sa mère ou, à défaut, par une nourrice.

 

VITAMINE C  (Dr Archie Kalokerinos, AUS, Viera Scheibner, PhD, AUS, Dr Gilbert H. Crussol, F et de très nombreux autres chercheurs).

 

Le bébé allaité est richement pourvu en vitamine C, même si  l’alimentation de la mère n’est pas optimale. Toute vaccination, tout choc physique ou psychologique, bouscule l’équilibre, l’organisme utilisant toute réserve de cette vitamine pour préserver de dommages le petit corps. Alors que l’enfant allaité peut rapidement refaire ses réserves, il n’en est pas de même chez l’enfant au biberon, toute supplémentation du monde ne suffit pas, car les vitamines synthétiques ajoutées n’ont pas la même valeur. 

 

SYNDROME DE L’ENFANT SECOUE  (Scheibner, Crussol)

 

D’après Viera Scheibner, les enfants qui meurent ou sont gravement endommagés (soi-disant secoués par un parent ou babysitter), étaient victimes d’un manque énorme de vitamine C – en général juste après une vaccination, qui utilise, comme nous avons vu, toute molécule de vitamine C qui pourrait circuler dans le sang. Ces enfants étaient pour la plupart déjà dans un état de santé lamentable (tout en donnant une impression de santé florissante), et peuvent plonger rapidement dans un état appelé « syndrome de Möller-Barlow » (un scorbut très avancé). Certains avaient déjà, même avant une vaccination, des membres cassés, des pétéchies et saignements internes et autres. Survient ce dernier « affront » et il n’y a plus aucune chance de le sauver. Les parents sont accusés de maltraitance, l’autopsie « confirme » la maltraitance.

 

NICOTINE    (Dr R. C. Reisinger, USA)

 

Le Dr Reisinger décrit le fait que la nicotine agit, dans un cycle métabolique compliqué (où la sérotonine joue un rôle), en fin de compte, comme la flore intestinale pathologique, car ces enfants meurent, d’intoxication aux endotoxines. La théorie officielle est correcte, mais on n’a pas encore élucidé le mécanisme – on se base sur des études épidémiologiques, non sur les études de Reisinger. 

 

EMPOISONNEMENT A LA STIBINE (Dr Jim Sprott, NZ)

 

D’après le Dr Jim Sprott « tous » les cas de mort subite étaient empoisonnés par la stibine, un gaz qui émané de vieux matelas imprégnés de d’un composé d’antimoine, pour éviter qu’ils ne prennent feu. Selon lui, il suffit d’envelopper de matière plastique tous les matelas pour lit d’enfant et plus aucun cas de mort subite ne se produira.

 

Intéressant de noter que, dans ce contexte, la position ventrale pour le sommeil du bébé pourrait jouer un rôle, puisque, si d’un matelas émanent des toxines, et si l’enfant aspire directement l’air empoisonné, le danger de succomber à l’intoxication pourrait être jusqu’à mille fois plus élevé en position ventrale, nez contre le matelas.   

 

SOMMEIL DANS LE LIT DES PARENTS (James McKenna, USA, Tine Thevenin, CND)

 

James McKenna est un ardent défenseur du sommeil du bébé dans le lit des parents. Il a raison, car il est plus facile d’allaiter, la confiance innée du bébé reste intacte, les matelas dans les lits d’adulte ne sont pas imprégnés… et, si jamais un bébé s’arrêtait de respirer… la maman se réveillerait de suite  (« Sommeil de nourrice »)!

 

Cela relève un peu d’une peur ancestrale de prétendre qu’un enfant qui dort à côté de ses parents pourrait être étouffé par le poids de l’un d’eux pendant leur sommeil. Ce n‘est pas impossible, mais il est un fait qu’une maman qui allaite est rarement alcoolique ou droguée – une telle maman n’aurait d’ailleurs jamais l’idée de faire dormir son enfant dans ses bras, car psychologiquement, elle « fonctionne » autrement.  

 

VACCINATIONS (tous les critiques de cette pratique antibiologique)

 

Viera Scheiber constate chez des bébés fraîchement vaccinés des phases d’apnée et d’hypopnée selon un rythme caractéristique. Il est clair que si on injecte des substances nocives dans un cerveau non encore myélinisé, cela ne peut qu’avoir des suites fâcheuses – jusqu’au décès. Le système immunitaire lui non plus n’est pas encore mur dans les premiers mois de la vie. Mais, même un adulte n’est pas fait pour se défendre contre les cocktails de poisons injectés directement dans le courant sanguin et qui peuvent outrepasser la barrière sang-cerveau.

 

Toute vaccination consomme des quantités phénoménales de vitamine C, car elle constitue un stress énorme pour l’organisme. Tout stress, qu’il soit physique ou psychologique, consomme toute vitamine C qui pourrait se trouver dans le sang circulant. Archie Kalokerinos a pu sauver, dès qu’il avait compris ce rapport, tous les bébés admis dans sa clinique. Pour Robert C. Reisinger, fervent défenseur de l’allaitement maternel, les endotoxines « dans lesquelles nagent jusqu’au cou les bébés au biberon » sont déjà un facteur de risque, mais certains vaccins (le DPT en l’occurrence) contenaient, à l’époque, eux mêmes des endotoxines, ce qui aurait fait déborder le vase.  

 

FACTEURS PREDISPOSANTS

 

Reflux, allongement du QT, prématurité, grossesse multiple, manque de maturité, poids insuffisant.

 

CONCLUSIONS

 

Il n’existe pas « une » cause à ce genre de décès. Et nous voyons que les causes principales ici mentionnées se renforcent l’une l’autre…

 

Il est surtout important d’allaiter au sein et – pour la mère, d’avoir une alimentation riche en vitamines, minéraux et autres nutriments importants. La flore intestinale du bébé ne peut être correcte que s’il est alimenté au sein – et elle est capitale. Le manque de vitamine C semble jouer un rôle extrêmement important, tant chez l’enfant non allaité qu’en cas de vaccination. La cigarette est un facteur aggravant de taille. Les conseils officiels ne couvrent qu’une petite partie du problème, tout en évitant (volontairement ?) de parler du plus important. Tout nourrisson et petit enfant jouit de quelques droits spécifiques fondamentaux : d’être allaité au sein par sa mère et de rester indemne de substances nocives, dont les vaccinations. Malheureusement ces droits sont ignorés très souvent !

 

Il est clair que certaines malformations, certains facteurs inhérents à certains bébés prédisposent à une mort « subite et /ou inexpliquée ». Si ces facteurs ne peuvent être évités qu’en partie, par une vie très saine, il est d’autant plus important de se tenir aux règles dictées par l’analyse des facteurs de risque. Il n’y a pas de raison de dire « Allaitez si vous le pouvez », mais de dire : « Allaitez, car c’est votre droit et votre devoir ». Il n’y a pas de maman qui ne sache pas allaiter au sein – sauf exceptions extrêmement rares. 

 

Dans le cas du « bébé secoué », plusieurs possibilités : rare le bébé effectivement secoué ou maltraité de façon à entraîner sa mort. Souvent, le bébé meurt (de mort subite) et le parent ou babysitter qui le trouve ainsi, le secoue, dans l’espoir de le voir respirer à nouveau. Dernière possibilité, la plus fréquente : rien ne s’est passé, le bébé présente des fractures, saignements internes et pétéchies. Tant que des pathologistes ne sont pas informés sur la maladie de Möller-Barlow, il y aura des injustices criantes partout dans le monde.

 

                                                    Colette M. Welter – mars 2009

colette.welter@gmx.net

 

A search of multiple causes ofSudden Infant Death Sudden and unexplained death of an infant does not include accidents, that is to say, choking, strangulation, abuse, poisonings, carotid "stuck". A "borderline" is death by poisoning from mattresses impregnated with stibnite. A true definition would be: a child, apparently in good health, died without recognizable cause. An autopsy can help find the cause (or sometimes not the causes themselves, but the consequences of causes). OFFICIAL ADVICE Let the baby sleep on its back or side.Do not smoke in his presence!Breastfeed ... if you can.Do not dress too warmlyAvoid the risk of strangulation, choking (in his vomit). BREASTFEEDING (Dr Hans-Georg Müller, D, Dr. Robert C. Reisinger, United States, Dr. MM Vennemann, D) In the 1970s, Dr. Müller of Heidelberg found that breastfed children are fairly well protected against sudden death: 20 times more cases in children from a bottle. The approach of Dr. Reisinger, Veterinary even calves died unexpectedly - he finds that it is those who have not received the precious colostrum from their mother, who had not the chance to produce a normal intestinal flora. The analysis of this flora informed that the bacteria in their intestines are pathological with a majority consisting of E. coli, whereas breast-fed calves have a bifidus flora. These contain E. coli in their membrane, an extremely dangerous toxin, endotoxin, which can kill, the final mechanism is cardiac arrest. Its merit is to transpose these findings to human babies and seeing that some vaccines contain not only endotoxin but cause decompensation of the complete system ... A baby "full of endotoxin" can survive aswell as possible and have even the air healthy. ... Vaccination occurs. And all capsized. A very recent article by MM Vennemann said that breastfeeding protects 50%, which is significantly less impressive than the Müller also said 30 years ago. Could it be that the number of vaccinations that children receive in the course of its first year it is for something? Logic that breastfeeding protects against sudden death in general as it protects against the side effects of vaccinations ... "Breastfeed, if you can," this advice is bad, because it suggests that it is common that a mother can not breastfeed. The real cases are extremely rare - Sheehan's syndrome, severe psychological problems or outright removal of both breasts. This advice also suggests that it is the mother to decide whether it wants to breastfeed her small and that if she does not want, they need only give the ersatz "that would be just as good." It is wrong because the baby has an absolute right to be breastfed by his mother or, failing that, by a nurse. VITAMIN C (Dr. Archie Kalokerinos, AUS, Viera Scheibner, PhD, AUS, Dr. H. Gilbert Crussol, F and many other researchers). The breastfed baby is richly endowed with vitamin C, even if the mother's diet is not optimal. Any vaccination, physical or psychological shock, upsets the balance, the body using any reserve of this vitamin to preserve the little body damage. While the suckling child can quickly rebuild its reserves, it is not the same in children from a bottle, any supplementation of the world is not enough, because the added synthetic vitamins have the same value. SHAKING THE CHILD SYNDROME (Scheibner, Crussol) Viera Scheibner According to the children who die or are severely damaged (so-called shaken by a parent or babysitter) were victims of a huge lack of vitamin C - usually right after a vaccination, which uses, as we have seen, any molecule of vitamin C that may be circulating in the blood. These children were mostly already in a deplorable state of health (while giving the impression of robust health), and can dive quickly into a state called "Möller-Barlow's syndrome" (a very advanced scurvy).Some had even before vaccination, broken limbs, internal bleeding and petechiae and others. It occurs "affront" and there is no chance to save him. Parents accused of abuse, autopsy "confirmed" abuse. NICOTINE (Dr R. C. Reisinger, United Kingdom) Dr. Reisinger describes the fact that nicotine acts in a complicated metabolic cycle (where serotonin plays a role), in the end, such as intestinal disease, as these children die of poisoning with endotoxins. The official theory is correct, but has not yet elucidated the mechanism - it is based on epidemiological studies, not studies Reisinger. POISONING stibnite (Dr Jim Sprott, NZ) According to Dr. Jim Sprott "all" cases of sudden death were poisoned by stibnite, a gas that emanated from old mattresses impregnated with a compound of antimony, to prevent them from catching fire. According to him, just plastic wrap all mattresses for cot and a single case of sudden death will occur. Interestingly, in this context, the prone position for the baby's sleep may play a role, since, if a mattress come from toxins, and if the child sucks air directly poisoned, the danger of succumbing to intoxication could be up to a thousand times higher in the prone position, face against the mattress. SLEEP IN THE BED OF PARENTS (James McKenna, United States, Tine Thevenin, CND) James McKenna is a strong supporter of the baby sleep in bed with parents. He's right, because it is easier to breastfeed, the baby's innate confidence remains intact, the mattresses in adult beds are not impregnated ... and if ever a baby stopped breathing ... the mother would wake in a row ("Sleep nurse")! This is a little fear ancestral claim that a sleeping child beside her parents could be stifled by the weight of one of them while they sleep. It is not impossible, but it is a fact that a breastfeeding mother is rarely alcoholic or drug addict - so mom would never in fact the idea of her sleeping child in her arms, because psychologically, it"works" otherwise. VACCINATIONS (all critics of the practice antibiologique) Viera Scheiber notes in infants vaccinated freshly phases of apnea and hypopnea as a characteristic rhythm. It is clear that if we inject harmful substances in the brain are not yet myelinated, it can only have disastrous consequences - until death. The immune system it is also not yet mature in the first months of life. But even an adult is not made to defend against cocktails of poison injected directly into the bloodstream and can bypass the blood-brain barrier. Vaccination consumes huge amounts of vitamin C because it is a tremendous stress to the body. Any stress, whether physical or psychological consume any vitamin C could be in the circulating blood. Kalokerinos Archie was able to save as soon as he had understood the report, all babies admitted to his clinic. Robert C.Reisinger, strong advocate of breastfeeding, endotoxins "in which to swim babies bottle-neck" is already a risk factor, but some vaccines (DPT in this case) contained, at the time, themselves of endotoxins, which would have the last straw. Predisposing factors Reflux, QT prolongation, premature birth, multiple pregnancy, immaturity, low birth weight. CONCLUSIONS There is no "one" because this kind of death. And we see that the main causes mentioned here reinforce each other ... It is especially important to breastfeed and - for the mother to have a diet rich in vitamins, minerals and other important nutrients. The baby's gut can not be correct if it is fed in - and it is crucial. The lack of vitamin C appears to play an extremely important role, both in children not breastfed in the case of vaccination. Cigarette smoking is an aggravating factor of size. The advisories cover only a small part of the problem, while avoiding (deliberately?) To talk about the most important. All infant and young child enjoys some special rights fundamental to be breastfed by his mother and to stay free of harmful substances, including vaccinations. Unfortunately these rights are often ignored! It is clear that certain malformations, certain factors inherent to predispose some infants to die "sudden and / or unexplained." If these factors can not be avoided in part, by a very healthy lifestyle, it is especially important to keep to the rules dictated by the analysis of risk factors. There is no reason to say "if you can breastfeed," but to say: "Breastfeed because it is your right and your duty." There is no mother who does not know to breastfeed - extremely rare exceptions. In the case of "shaken baby" several possibilities: rare indeed shaken the baby or abused so as to cause his death. Often, the baby died (sudden death) and the parent or babysitter who thus, shakes, hoping to see him breathe again. Latter possibility, the most common: nothing happened, the baby has fractures, internal bleeding and petechiae. As pathologists are not aware of the Möller-Barlow disease, there will be injustices around the world.                                                     

Colette M. Welter - March 2009      

colette.welter @ gmx.net

 

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 23:42

Traduction que nous à fait Georgio Tremante .

403194_2875875988383_1604470486_32606706_1181210519_n.jpg    Lisez le livre Majeur et vacciné 

Brève description de notre tragédie pour démontrer à quel point peut faire de la vaccination, utilisé afin indistinctement sur les familles de partout dans le monde, je pense que c'est juste moi de raconter mon histoire, mais a déclaré que, malheureusement, mon histoire n'est pas considéré comme un cas unique en soi de façon sporadique , mais ce n'est que la pointe d'un iceberg qui tente de démasquer la catégorie de «scientisme» qui nécessitent l'utilisation de la terreur, même avec les pratiques de vaccination. La tragédie qui s'est abattue sur ma famille est tombée sur trois de mes quatre enfants.

Je constate que mes trois enfants souffrant de réaction au vaccin, sont nés en parfaite santé et que les manifestations d'une éventuelle maladie apparue seulement après le premier vaccin Sabin contre la polio.

Pour Marco, mon fils aîné, a été décrit sur les symptômes cliniques qui sont apparues après la polio Sabin.

Les troubles survenus (nystagmus oculaire, tremblements et troubles de la parole) ont été corrélés à l'Sabin pédiatre, tandis d'autres médecins avaient assumé différents diagnostics comme les tumeurs du cerveau ou une encéphalopathie dégénérative, jamais confirmée par aucunes analyses effectuées sur l'enfant.

Il mourut en 1971 à l'âge de six ans.

Avec le deuxième enfant, né en 1970, il n'y avait pas de problèmes.

Mais le drame est venu à nouveau avec la naissance, en 1976, avec des jumeaux monovulaire. Malgré mon opposition farouche à une loi qui me fit une obligation absurde et dangereuse, sans aucune enquête préalable, ont été vaccinés, et le lendemain déjà commencé à émerger dans les premiers stades de certaines modifications.

J'ai soumis les dossiers médicaux des hospitalisations d'abord provoqué par mes enfants dans diverses universités: les Etats-Unis, en Angleterre et même la Russie, précisément dans ce dernier pays s'ipotizzò une maladie de déficience immunitaire qui aurait confirmé la responsabilité spécifique des vaccinations.

Dans ma ville, Vérone, a été diagnostiqué avec "type leucodystrophie métachromatique", une maladie dégénérative du système nerveux, ce diagnostic n'a jamais été confirmée par les tests génétiques à laquelle nous nous soumettons aussi.

Plus tard, Andrea, l'un des jumeaux, s'est aggravée et a été hospitalisé pour déshydratation, malgré ma recommandation de ne pas faire usage de médicaments immunosuppresseurs, parce que l'enfant était immunodéprimé, dans la veine de la cortisone a été utilisé en cinq heures et mon bébé il est mort.

Plus tard, j'ai appris que le même médicament a également été donnée à mon premier enfant avant la mort. Même avec une autopsie ont été en mesure d'avoir des informations utiles pour sauver la vie des jumeaux parce que on nous a refusé la présence du coroner, de sorte que l'examen ne pouvait pas faire confiance à notre recherche.

Un mois après la mort d'Andrew, même Albert, était le jumeau, a dû être hospitalisé.

Malgré un avis médical a été de le laisser mourir, il a été pris, à notre demande, en soins intensifs, et a demandé un virologue de Naples, qui avait précédemment examiné l'enfant, ils nous ont conseillé des immunostimulants. Soumis à un traitement avec "interféron", l'enfant a commencé à s'améliorer lentement.

Après six mois à l'hôpital de l'enfant a été amené à la maison avec aucune lettre de démission.

Quelque temps plus tard, les demandes de dossiers médicaux, j'ai remarqué que différents de ceux quotidiens photocopiés pendant l'hospitalisation. Pour cette a présenté une plainte devant les tribunaux.

En conséquence du fait qu'elle a été rendue par un juge contre un avis judiciaire de la directrice médicale de l'hôpital où l'enfant a été hospitalisé, puis étendu aux primaires de pédiatrie pour "falsification d'un public." A la fin de cette instance a été déposée.

Beaucoup d'autres refuges souffert d'Albert, à la fois dans le même hôpital de Vérone que dans les USI d'autres: la polyclinique de Milan, Merate dans la province de Côme, dans le Marignan, près de Milan, et a finalement été transféré au bureau de l'Hôpital Me Legnano Vérone. Pendant toutes les abris divers ma tâche était de s'assurer que les thérapies immunitaires ont été pratiquées qui nous a donné des résultats positifs.

Ces thérapies ont toujours été recommandé par le professeur Tarro de Naples, qui avait été l'élève du professeur Sabin.

Il a toujours été difficile, voire impossible d'appliquer ce type de thérapie à Alberto, depuis le pacte médical avait déjà statué que mon fils devait mourir. Cela a été pris en charge car il était de la responsabilité de la découverte des vaccins utilisés sur un sujet, partiellement immunodéprimés.

Bien que notre cas a impliqué le Président de la République, Sandro Pertini, en appuyant pour le ministre de la Santé devraient mettre en place une Commission interministérielle Renato Altissimo, sans jamais avoir vu cette Alberto écrit un faux rapport à dissimuler la vérité sur les dégâts causés par les vaccins.

Le dernier patient a dû subir à l'hôpital Albert de Vérone, où, de l'avis de la santé, mon fils devait mourir peu de temps.

J'ai essayé désespérément de ramener à la maison de mon bébé, puisque c'était leur façon de penser parce que la seule solution pour le problème pour eux était l'aboutissement de toutes nos affaires néfastes.

A ce stade, parce que je ne pourrais pas survivre afin de rendre mon bébé, je n'ai fait enlever les «droits parentaux» par le juge des mineurs à Venise, à laquelle je me suis tourné immédiatement à lui faire savoir qu'il commettait une erreur grossière.

J'ai réussi à me convaincre et rétablir l'autorité parentale, donc depuis le début, depuis ce jour en 1984 pour gérer mon fils à la maison, creandomi une «salle de réveil", où il avait déjà arrangé notre chambre.

Pendant toutes les admissions a toujours suivi ma femme Franca Albert, en restant avec lui jour et nuit, afin de le protéger de tout abus que la profession médicale a cherché à mettre en œuvre.

Beaucoup d'autres avaient à souffrir des abus par la santé, même si Albert avait pas mis les pieds dans un hôpital, une controverse d'aucune sorte de la part des établissements de soins de santé parce qu'ils ne veulent pas admettre que les vaccinations ont été la cause de sa maladie et la mort de ses frères.

Enfin, en 1995, en utilisant la loi 210 de 1992, reconnue par l'État a vu la "causalité" du dommage subi en soumettant à nos enfants à l'exigence de la vaccination.

Pendant toutes ces années, j'ai ADOP de créer des associations en Italie à des gens globale comme moi qui ont subi des dommages par les pratiques de vaccination; à également tenté de faire passer une loi qui avait développé avec les parlementaires, de supprimer le caractère obligatoire de ces pratiques, mais cet objectif n'a pas été atteint en Italie, car, à mon avis, la politique de santé qui est mis en œuvre est encore dominé encore la puissance de l'pharmaceutiques multinationales.

Tout cela prouve que même dans ce domaine, certaines pseudosciences, avec la force de son scientisme, dénué de tout scrupule, piétine l'époque, avec la plupart des actions illégales du temps, tous les droits humains et civils.

Il impose sa puissance repose largement sur des intérêts spéculatifs qui sous-tendent leurs progrès n'est pas sur une information ouverte et précise, mais plutôt d'une désinformation délibérée et complète à une certaine réalité et de l'occulte aussi prétend être la prévention de ces pratiques de la prophylaxie que tout peut, sauf pour empêcher quoi que ce soit.

Par Giorgio Tremante

 

http://expovaccins.over-blog.com/article-33747316.html

http://www.whale.to/vaccine/giorgio_tremante.html

http://www.mednat.org/vaccini/tremante.htm

http://www.tremante.it/

http://www.laleva.org/it/2009/09/supportiamo_giorgio_tremante_-_sit-in_davanti_al_tribunale_di_verona_il_30_settembre.html

http://www.prodigio.it/articoli.asp?idarticolo=366


 

 



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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 23:33

Article paru dans UBU du 05 janvier 2012

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Madame Onkelinx, ceci est un appel au secours, à la raison, à la responsabilité et au courage politique. En tant que ministre de la santé vous avez le pouvoir et le devoir de sauver nos enfants, car ils sont en danger de mort ! Rappelez-vous lorsque vous avez commandé 11 millions de vaccins contre le H1N1 vous aviez invoqué le devoir de précaution. Vous devez user du même devoir aujourd’hui, mais dans l’autre sens ! Les lobbys pharmaceutiques vous laisseront-ils faire ? C’est une autre question…

Il y a une quinzaine de jours je suis contacté par Raphael totalement en désarroi. Et il y a de quoi. Raphael est le papa de deux petites jumelles. Nées le 25 juillet 2011, une des deux jumelles, Satcy est décédée le 22 octobre 2011.

Raphael m’explique que son bébé aurait reçu le vaccin Prevenar contre la pneumonie à streptocoque et un autre contre le méningocoque. Selon cet homme désemparé c’est le vaccin qui aurait tué son enfant. Il n’y a rien de pire que de perdre un enfant, et la détresse de cet homme me touche. Mais il est également humain de vouloir trouver un « coupable » ou un responsable face à un drame d’une telle ampleur. Je reste donc très prudent et tente de rassembler un maximum d’informations. Je me suis donc procuré le dossier médical ainsi que les échanges entre les avocats, et les experts. Et ce dossier ne sent pas bon… Vraiment pas bon !

L’affaire est mise à l’instruction pour homicide par coup et blessures involontaires chez la juge Desneux à Charleroi. Plusieurs choses sont « troublantes » dans cette affaire. Tout d’abord, à la clinique où était hospitalisée l’enfant. Le pédiatre en charge du bébé, demande la réalisation d’une ponction lombaire afin de mettre en évidence de façon formelle l’existence d’une méningite d’origine bactérienne. Cet examen n’a pas été réalisé ! Pourquoi ? Erreur médicale, manque de subsides, pression des lobbys pharmaceutiques…

Autre élément encore plus troublant. La cause du décès bien que « diagnostiquée » n’a pas été confirmée par le moindre examen non contestable. L’enfant serait décédé d’une Méningococcémie. Le Professeur Boxho de l’institut médico-légal de Liège déclarait le 16 novembre que dans le cadre de la manifestation de la vérité dans cette affaire, une autopsie devait absolument être diligentée. La Juge Desneux semblait vouloir le suivre. Et puis, revirement de situation, la juge, après avoir consulté « ses médecins légistes » estime qu’il est trop tard pour une autopsie ! Cette décision intervient moins d’un mois après le décès alors que « l’autopsie doit être pratiquée dans les 40 jours de l’enterrement pour être efficace de manière optimale » ! Deuxième enrayage de la machine. Pourquoi ?

Je n’étais pas prêt encore à publier… même si cette affaire est tout de même chargée de zones d’ombres, de décisions incompréhensibles et de revirements inexplicables.

Et puis ce matin en faisant des recherches, je découvre un article du « Monde » paru en mars 2011 : « Le japon signale la mort d’un sixième enfant après une vaccination ». Il est clairement question du vaccin Prevenar et du vaccin contre la méningite bactérienne. Le ministre japonais de la santé a suspendu l’usage de ces deux vaccins. Les labos concernés sont donc bien au courant du problème…

Alors, Madame la ministre de la santé, aurez-vous le même courage que votre homologue japonais, et suspendrez-vous également l’usage de ces vaccins au risque de vous mettre les lobbys pharmaceutiques à dos, par mesure de précaution pour protéger les citoyens dont vous êtes en charge ? Madame Turtelboom utilisera-t-elle son droit d’injonction pour que toute la lumière soit faite dans l’affaire de la petite Stacy ?

 

Magnum UBU

 

Les parents de la petite Stacy on crée un groupe sur facebook :

https://www.facebook.com/groups/raphetbea/

 

 

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